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lundi 31 mars 2014

En passant par Israël de Mireille Pierson

Nombre de pages : 164 pages
Date de parution : 2011
Fiche du Livre

Quatrième de couverture
Ce livre relate l'histoire de la vie d'une jeune fille qui depuis sa naissance cherche le chemin de la Vérité, le chemin de l'Amour. Elle veut comprendre le sens de sa vie. Après la mort de son père, Laura va entreprendre des voyages. A travers ses aventures et ses rencontres, elle va pouvoir faire ses expériences, mieux se connaître et arriver à son but qui est finalement l'épanouissement dans sa vie actuelle. La Terre d'Israël a été pour elle la source, la base de toute son évolution intérieure. Malgré les embûches et les difficultés, elle réussira à trouver ce qui est bon pour elle.
Elle va commettre des erreurs, ce qui est normal car la vie n'a pas de " recette magique. " Il faut persévérer, apprendre à se connaître et être soi-même sans avoir peur du regard des autres. Rechercher la lumière qui est en nous et la faire briller.

Il faut persévérer, apprendre à se connaître et être soi-même sans avoir peur du regard des autres. Rechercher la lumière qui est en nous et la faire briller.

"Le plus grand bien que nous puissions faire aux autres n'est pas de leur communiquer notre richesse mais de leur révéler la leur." Louis Lavelle

Ce livre décrit Israël ainsi que les autres pays à l'époque où Laura s'y est rendue et selon son témoignage.


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Avis d'Aurélie
On suit Laura, une jeune femme suisse, depuis sa naissance jusqu'à ce qu'elle aboutisse enfin à une sorte de paix intérieure. C'est une jeune femme qui, dès son arrivée au sein de sa famille, va vivre des instants terribles, beaucoup plus nombreux et horribles que ceux que la plupart des hommes vivent à commencer par un père joueur, dépressif qui va se suicider alors qu'elle est adolescente, en pleine période de Noël. Elle va affronter sa vie, la fuir souvent, la vivre à travers des voyages, des aventures, des rencontres. Ces nouveaux horizons s'offrant à elle vont lui permettre d'avancer, de se reconstruire, de grandir et de trouver la force d'affronter les obstacles pour ne retenir que le meilleur.

Ce roman est un de mes coups de cœur de cette fin d'année. Une histoire simple, sans prétention, vraie, poignante et captivante. La plume de Mireille Pierson est simple, pas d'enrobages inutiles, pas de guimauve autour du malheur de Laura pour faire passer la pilule : c'est brut, c'est direct et ça permet de donner une bonne claque au lecteur.
Laura est une femme qui détonne par sa capacité à aller de l'avant malgré ses fuites régulières : au départ, elle a besoin de voyager pour s'échapper de sa vie, de son quotidien, de ses problèmes mais lorsqu'elle finit par aller mieux, ses voyages ne sont plus que sa passion de l'inconnu, du nouveau et renouveau. J'ai passé chaque page à me soucier de Laura, à vouloir l'aider à ouvrir les yeux sur l'horrible Djon, à essayer de lui dire de cesser de courir, à lui dire qu'elle n'était pas seule... C'est cette capacité à nous faire plonger dans cette histoire comme ça qui fait de ce roman un bon roman : on est touché, on veut aider Laura et la protéger pour qu'elle puisse enfin souffler et avoir droit à sa part de bonheur largement méritée. Elle a un cœur immense, elle partage et donne même le peu qu'elle a sans rien attendre en retour et c'est ce qui fait de Laura une véritable héroïne.

Grâce à Laura, on voyage, on découvre de nouvelles cultures mais surtout, on apprend à accepter et à vouloir s'immerger dans ces découvertes. Lorsqu'elle arrive dans un pays, ce n'est pas pour y faire bêtement du tourisme mais bien pour y vivre. En Israël, elle travaille, elle traverse le pays, elle apprend à vivre au rythme des israéliens, elle prend un peu de cette culture pour commencer sa reconstruction. Elle vit comme eux : elle entend les bombes mais ne reste pas cloîtrée, à quoi bon ? Elle a la chance de ne pas vivre de scènes de guerre et de connaître l'Israël autrement que de par son conflit.
Son année aux États-Unis marque en quelques sortes le dernier voyage de la construction des nouvelles fondations de sa vie. Là aussi, elle a eu droit à son lot de malheurs mais encore une fois, elle ne garde que le meilleur : les rencontres, les découvertes, les pas en avant. Elle y fait d'ailleurs un grand pas dans le périple du développement personnel puisque c'est là qu'elle commence à y prendre goût. Elle continuera d'ailleurs une fois rentrée chez elle, en Suisse, auprès de sa mère et de ses sœurs.

J'avoue qu'arrivée à la fin du roman, je voulais en savoir plus. Laura finit par se réconcilier avec son existence et je voulais voir ce que ça donnait... Mais en y réfléchissant, je préfère ne pas savoir : elle a accepté de partager une grosse partie de son intimité à travers la plume de Mireille Pierson et il est normal qu'on ne plonge pas dans la suite de cette intimité... Cependant, Mireille m'a quand même soufflé que les voyages de Laura ne s'étaient pas arrêtés, bien au contraire, et que la fin du roman prend son sens pour la suite des aventures de Laura :

« Quand on ose franchir certaines portes, la magie de la synchronie ouvre d'autres portes pour nous aider. Alors persévérons même si parfois c'est difficile.
Oui, osons faire de belles choses, combattre la honte et le regard des autres.
Soyons toujours sourds quand quelqu'un nous dit que l'on ne peut pas réaliser nos rêves. »


Elle a déverrouillé des portes et les a franchies, Mireille Pierson nous transmet son témoignage et nous ne pouvons qu'espérer être capables de faire la même chose. J'ai lu ce roman en plus d'une semaine, non pas parce que ce fut dur mais plutôt parce que j'ai pris le temps de réfléchir à travers les aventures de Laura : ses voyages, ses aventures, ses belles rencontres... Tout ça donne une irrésistible envie de bouger, de s'évader et de partir comme elle, avec un sac à dos, de bonnes chaussures et surtout une soif de découverte. Même le plus petit détail peut donner envie : Mireille Pierson m'a confié avoir demandé à ce que les pages de ce roman soient faites de papier recyclé... Je trouve que ce genre d'initiatives marque clairement les choix que l'on peut faire, les engagements que l'on peut prendre afin de faire de sa vie la plus belle chose qu'il soit.

Je remercie les Éditions Chloé des Lys pour ce partenariat, je remercie Mireille Pierson d'avoir couché une si belle histoire sur le papier et de me l'avoir faite découvrir et surtout, je remercie Laura d'avoir partagé des moments si intimes de sa vie... J'ai tellement aimé ce livre que je me suis ruée à la séance de dédicaces qui se déroulaient à côté de chez moi pour me le procurer officiellement et le faire découvrir à ma mère.


Avis de Kathy
Tout d'abord, un grand merci au forum et aux éditions Chloé des Lys qui ont accepté de jouer le jeu et qui, j'espère, continueront sur cette lancée. C'est toujours un réel plaisir de lire un livre pour en sortir quelque chose qui sera lu et pris au sérieux.

Dans En Passant par Israël, nous suivons la vie d'une jeune fille à partir de sa naissance en Suisse. Troisième enfant d'une famille qui n'en a pas forcément les moyens, elle se sent, dès le départ, repoussée par son père. Un père peu présent dans leur vie, qui a des problèmes avec l'alcool, les jeux d'argent et les femmes et qui, malgré ses tentatives de rétablissement, se donnera la mort un jour de Noël. Cet homme a profondément marqué Laura, notre personnage principal. Frustrée de ne pas avoir eu le temps de lui dire tout ce qu'elle avait à dire, et d'apprendre à mieux le connaître, Laura renferme un mal au fond d'elle qui la rattrapera tout au long de sa vie, ou presque. Elle est mal dans sa peau et cherche inlassablement l'accès au bonheur. Elle tombe amoureuse de garçons qui ne prennent pas soin d'elle, qui la blessent terriblement et la manipulent. La seule solution qu'elle trouve à ses problèmes est la fuite : elle voyage beaucoup et son premier voyage est pour Israël. Mais c'est loin d'être le seul et le plus important du livre, et en ce sens, je ne comprends pas forcément pourquoi ce titre a été choisi.

J'ai trouvé le thème intéressant, l'histoire touchante mais quelque chose n'allait pas. L'écriture manque de pep's. Elle n'est pas assez naturelle. Les dialogues sont figés, irréalistes, lourds et ceci gêne beaucoup la lecture de l'ouvrage. À part Laura, nous n'avons pas le temps de nous attacher aux autres personnages. Leurs réactions sont trop artificielles. Il y a malgré tout quelques points forts dans ce roman. Le premier est le voyage. Nous découvrons avec plaisir les richesses de divers pays tels qu'Israël, la côte Ouest des États-Unis, Mexico, nous nous rendons également à Paris, tout est décrit avec un œil touristique. C'est agréable. Le second point positif est la touche de psychologie, de philosophie sur la vie et la recherche de soi et du bonheur. Elle est amenée par différents moyens : psychologue, amies, famille. Tous sont là pour faire comprendre à Laura qu'il faut qu'elle commence par apprendre à se connaître elle-même, à pardonner son père pour redémarrer sur de nouvelles bases, de nouveaux projets qu'elle désire réellement. Le bonheur n'a pas de prix, il est simplement question de volonté. "Soyons toujours sourd quand quelqu'un nous dit que l'on ne peut pas réaliser notre rêve".

Ce roman m'a fait penser évidemment à celui de Diane Peylin, À l'endroit où elles naissent, dans le sens où les thèmes se touchent : quête du bonheur et voyage pour se trouver soi-même. Mais rien à voir par rapport aux rapports entre les personnages, aux émotions et la description des diverses cultures. Diane Peylin a créé un univers réaliste et humain, alors que celui de Mireille Pierson est plus philosophique, éducatif.

Dernière remarque capricieuse : je n'ai pas du tout accroché avec la première de couverture. Mais ce détail ne m'a pas arrêtée pour autant dans ma demande de participation à la tournée du livre.

En bref, thèmes fascinants, voire perturbants mais incroyablement intéressants à découvrir. Une histoire relativement bien tournée mais une écriture peut-être pas encore assez travaillée pour se faire oublier, pour atteindre la fluidité qui permet de plonger au cœur de l'aventure et d'oublier que nous sommes en train de lire quelque chose de travaillé. Mais nouvelle auteur à suivre, bien évidemment !

Merci.


Avis de Pityfleur
Tout d’abord je voudrais remercier les éditions Chloés des lys et le forum accros et mordus de lecture pour ce petit livre peu ordinaire et très intéressant.

À travers ce roman, « en passant par Israël » nous suivons une jeune suissesse du nom de Laura, benjamine d’une fratrie de trois sœurs. Ses parents n’ont pas beaucoup d’argent et elle grandit dans une ambiance familiale perturbée par la descente aux enfers d’un père absent, alcoolique et accro aux jeux d’argent. Un père qui finit par se suicider un soir de Noël alors qu’elle n’est encore qu’une adolescente. Fortement déstabilisée par cette mort tragique, sa vie de jeune adulte est très difficile. Elle supporte mal les boulots stables, elle dit qu’elle y étouffe et trouve dans le voyage, ou plutôt la fuite, un moyen de s’évader de son quotidien. Même si elle fait du tourisme, elle voyage pour découvrir le pays qu’elle visite. Elle s’y installe plusieurs mois, voire une année pour y travailler, connaître la société et faire des rencontres. Pour Laura ces voyages sont une façon de poursuivre son épanouissement personnel vers la quête de son propre bonheur. Mais voilà, c’est une jeune fille qui a bon cœur, qui partage facilement et qui tombe aisément dans les griffes de personnes mal intentionnées. Concernant sa vie amoureuse, elle ne rencontre que des hommes qui ne savent pas prendre soin d’elle ou qui la manipulent et se retrouve devant des choix impossibles qui la marqueront à vie, la poussant même jusqu’à une tentative de suicide. Repoussée par son père, trahie par ses amoureux et atrocement manipulée par Djon. Son salut réside dans le voyage et dans les rencontres qu’elle y fait car au final c’est lors de l’un d’entre eux qu’elle finit par s’initier à la spiritualité et à la connaissance de soi qui la délivreront peu à peu de son passé tragique.

L’écriture est fluide et légère mais je ne suis pas complètement entrée dans le roman. Les situations tragiques qui se succèdent, les mauvaises rencontres, les plusieurs tentatives de viol dont l’héroïne fait l’objet, tout cela manque de vraisemblance. Son histoire ressemble à un résumé des violences que l’on peut faire à une femme, c’est trop pour une seule vie ! Les personnages secondaires, bien que travaillés, manquent de profondeur et réagissent de façon un peu téléphonée. Concernant les voyages de Laura, j’aurais aimé en savoir plus sur les pays en question, les traditions, les personnes et les situations qu’elle a pu vivre. L’auteur nous fait souvent une longue liste des endroits ou des monuments qu’elle visite sans entrer dans les détails. La liste s’étiole, divulguant là, certes, un gros travail de recherche, mais plus digne d’un guide touristique que d’un roman initiatique.

Malgré toutes ces invraisemblances et cette écriture parfois un peu terne j’ai trouvé plaisir dans cette lecture. Je ne cache pas que ce qui m’a touchée c’est la force intérieure de Laura. Malgré les drames, les galères et les humiliations, elle reste debout. Elle n’a pas d’à priori, laissant sa chance à chacun de lui apporter le bonheur qu’elle recherche. Elle est fraîche et naïve. Par un habile jeu des sentiments l’auteur arrive à nous faire ressentir de la compassion pour Laura, je me suis prise plusieurs fois à pester à haute voix, dans l’intimité de mon canapé, contre ce Djon … « mais laisse tomber Laura, tourne la page ! » sous le regard ahuri de l’homme qui partage ma vie ! On ressent un vrai attachement à cette jeune fille, à ce qu’elle est, à ce qu’elle vit. Le cheminement spirituel de la protagoniste est subtilement amené par une foison de regards extérieurs, une rencontre, un psychologue, une amie… tous sont là pour l’aider à se comprendre elle-même, à pardonner à son père et à s’accomplir pleinement. Il n’y a pas vraiment de « Happy end » et l’on reste un peu sur sa faim, mais on laisse une Laura définitivement en bonne marche sur la voie du bonheur et ce simple sentiment suffit à nous donner le sourire lorsque la dernière page se referme sur ce joli petit roman sans prétention.


Avis d'Inlandsis
Roman initiatique classique, En passant par Israël nous fait partager la vie de Laura. Troisième fille d’une famille modeste, Laura est une surprise. Cet état de fait la poussera sans arrêt à rechercher sa place auprès de ses proches. Il s’agit donc d’une plongée dans la construction d’une personne, d’une personnalité. Nous suivons Laura de sa plus tendre enfance à l’accomplissement de sa construction : quand elle se retrouve enfin entière et en accord avec elle-même.

Ce court roman est donc avant tout un chemin : le parcours d’une âme pour trouver sa place dans ce bas monde. Il pioche à la fois dans la psychologie, la psychanalyse ou la philosophie.
Il y a d’abord l’enfance et ses blessures indélébiles qui forgent un individu. Il y a ensuite le drame dans toute son horreur et son traumatisme. Puis il y a le voyage et la découverte progressive de soi et de son âme. Enfin il y a la délivrance : l’acceptation de son être dans son intégralité et l’acceptation de la vie dans ses douleurs et ses joies.
C’est donc ce parcours que nous livre l’auteur dans un récit où se mêlent ombre et lumière à l’image de la vie. Laura c’est vous... c’est moi... c’est chacun de nous et personne à la fois.
Malgré une nette bonne volonté, l’auteur n’arrive toutefois pas à sortir des poncifs ordinaires ultra connus de la psychologie et de la spiritualité. Rien d’original à attendre de ce côté-là.

Du côté des personnages, l’auteur nous peint des personnages suffisamment complexes et cohérents.
Touchante, son héroïne Laura l’est assurément. Elle est le personnage principal. L’auteur nous montre comment se créent ses blessures et les moyens que le personnage met en œuvre pour s’en affranchir, s’en guérir. Sa psychologie est donc très poussée et c’est un personnage très construit.
Autour de Laura gravite sa famille :
- sa mère, une femme forte, le pilier sur lequel chacun s’appuie.
- Son père qui sera le catalyseur des blessures, un homme fragile.
- Et ses sœurs qui mettent en lumière la différence de construction de soi dans une même fratrie et illustrent parfaitement qu’une même situation aura des effets fort différents sur les individus selon leur tempérament ou leur vécu respectif.
La vie ce n’est pas que soi et sa famille c’est aussi les amis, les rencontres, les épreuves... Assez manichéen sur ce point, les amis de Laura vont systématiquement l’aider à avancer. Alors que d’autres personnages qu’on ne peut pas qualifier d’ennemis vont systématiquement lui porter préjudice. Peu de personnages arrivent à faire le lien entre ces deux extrêmes. Citons José ou Djon qui sont de parfaits ersatz du père de Laura. Au passage, rien de bien étonnant : c’est de notoriété publique qu’on recrée régulièrement les mêmes situations.
Dans l’ensemble les personnages sont donc plutôt manichéens mais suffisamment construits pour être crédibles.

La vie de Laura est détaillée, l’auteur analyse parfaitement la construction de son personnage, comment les événements l’influencent, le changent. Sans s’affranchir des classiques du genre, c’est un roman initiatique efficace. Emprunt de spiritualité, on a l’impression que l’auteur y a déversé beaucoup de sa personne et de son propre parcours. Un petit bémol ce pendant, à titre personnel, j’ai trouvé que la mise en place des petites fêlures de l’héroïne prennent beaucoup de place par rapport à ses démarches de construction de soi et de spiritualité. Puis quand tout va enfin bien pour elle c’est fini... à croire qu’on ne pouvait être spectateur/lecteur que des noirs passages de la vie de Laura et que son HappyEverAfter est privée et qu’il serait indiscret de chercher à en savoir davantage. J’admets volontiers que l’important n’est pas le but mais le chemin. Cependant, j’ai eu une impression de fin un peu trop rapide. L’enfance est extrêmement développée puis les étapes sont de moins en moins développées comme un grand coup d’accélérateur sur le chemin. Petit bémol donc pour moi de ce côté-là.
Passons à présent à un aspect plus technique... L’écriture est simple et accessible. Le roman est facile à lire et vraiment abordable ce qui est un gros point positif pour le genre. En effet, les romans initiatiques sont souvent difficiles à lire par leur digression philosophique intempestive. Ici, bien que le roman soit nettement affilié à la catégorie de part ses thèmes abordés et il reste un livre agréable et Mireille Pierson une auteure à suivre.


En résumé, des défauts, des qualités, En passant par Israël est un premier roman d’une auteure à suivre. C’est une agréable découverte et je remercie grandement les Éditions Chloé des Lys et le forum Accros et Mordu pour m’avoir permis de le lire.

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