Nombre de pages : 270 pages
Date de parution : 15 février 2012
Fiche du Livre
Quatrième de couverture
Quand les cadavres se relèvent d’entre les morts, Stella Hunyadi, la vampire hongroise exilée à Londres, se doit de mener l’enquête. Elle est loin d’imaginer que derrière cette histoire de meurtre et de sorcellerie, c’est tout un passé qui resurgit. En parcourant les sous-sols de l’effroyable Tour de Londres, entre jeux de pouvoir, séductions et manipulations, la belle immortelle aura fort à faire pour découvrir les liens tragiques qui nouent les vampires de la capitale…
Le troisième tome des Soupirs de Londres ouvre une fenêtre sur le passé des vampires londoniens. Des murmures de l’Ecosse aux ombres de la Tour de Londres, la roue de la destinée tourne inexorablement pour ces immortels torturés et puissants…
Date de parution : 15 février 2012
Fiche du Livre
Quatrième de couverture
Quand les cadavres se relèvent d’entre les morts, Stella Hunyadi, la vampire hongroise exilée à Londres, se doit de mener l’enquête. Elle est loin d’imaginer que derrière cette histoire de meurtre et de sorcellerie, c’est tout un passé qui resurgit. En parcourant les sous-sols de l’effroyable Tour de Londres, entre jeux de pouvoir, séductions et manipulations, la belle immortelle aura fort à faire pour découvrir les liens tragiques qui nouent les vampires de la capitale…
Le troisième tome des Soupirs de Londres ouvre une fenêtre sur le passé des vampires londoniens. Des murmures de l’Ecosse aux ombres de la Tour de Londres, la roue de la destinée tourne inexorablement pour ces immortels torturés et puissants…
Avis de Michiko
Résumé personnel :
Stella et Corwin se promènent tous deux dans les bois lorsqu’ils tombent sur le corps d’un jeune homme, mort récemment. Il a une rose blanche plantée dans le torse mais, fait encore plus étrange, son corps est entouré d’un pentacle d’une puissance extrême empêchant les Vampires de s’en approcher. Même Stella pourtant à moitié sorcière est incapable d’en faire quoi que ce soit. Ils décident de rentrer au Manoir afin d’en parler à Rodrigue, Prince de Londres. Alors qu’une enquête est ouverte et que d’autres cadavres font surface, la Vampire d’Europe de l’Est va découvrir bon nombre de secrets sur la ville qui la retient prisonnière. Simple pion dans un jeu de séduction et de manipulation, difficile de s’y retrouver pour Stella qui peine à y comprendre quelque chose. Liés à ces morts, des secrets bien gardés et un passé inavouable. Mais qui est donc cette mystérieuse Marquise enfermée dans la Tour de Londres ? Quel lien existe-t-il entre elle, ces meurtres et le Prince de Londres ? Une enquête qui promet d’être riche en surprises et en révélations.
Critique :
Je dois le reconnaître, il s’agit là de mon premier roman d’Ambre Dubois (mais certainement pas le dernier). Fait amusant quand on y pense puisque Marquise des Ténèbres est le troisième tome des Soupirs de Londres et non pas le premier. Cependant, l’histoire est indépendante des autres tomes, beaucoup d’informations et d’explications nous sont données au cours du tome ce qui permet de suivre et de comprendre l’histoire. Je n’ai nullement été gênée de ce côté-là. Je compte bien entendu lire les deux premiers tomes, ce serait une erreur de ne pas le faire. Ambre Dubois joue de sa plume à la perfection. L’univers dans lequel l’auteur nous plonge est étouffant, inquiétant et pourtant il semble tellement réaliste à côté des décors, de l’époque, du lieu…
Un bon travail au niveau de la psychologie des personnages, entre Corwin tellement humain pour un Vampire, Stella qui nous reste accessible à notre logique tout en demeurant une vraie Vampire… Il y a également Drake, Vampire séducteur et manipulateur mais pour le moins insaisissable de même que Rodrigue, Prince de Londres au caractère à la fois identique mais terriblement plus effrayant. Difficile de démêler le vrai du faux, entre manipulation, séduction, mensonges et vérités, je dois reconnaître qu’on est très vite perdu, à l’égal de Stella. Puisqu’il s’agissait de mon premier tome lu, j’étais assez surprise par l’arrivée d’un certain détective (je n’en dirai pas plus).
L’intrigue est bien menée, une enquête qu’on aime à suivre même s’il s’agit d’un vrai casse-tête. Difficile de s’y retrouver même lors du dénouement. En somme, un cocktail explosif qui fait de ce roman sur les Vampires un incontournable du genre. Un gros bémol cependant concernant les coquilles tout au long du roman. Certaines fautes sautaient aux yeux, à se demander s’il y a eu une relecture du roman avant publication. Mais c’est la seule chose que je puisse lui reprocher.
Un petit mot concernant la couverture, je l’ai trouvée magnifique. La Marquise est vraiment belle et correspond tout à fait à la description du roman. Mon imagination n’aurait pas fait mieux. Bravo à l’illustratrice.
Je remercie l’auteur, Ambre Dubois pour ce petit bijou de la littérature ainsi que les Éditions du Petit Caveau et bien entendu le forum Accro&Mordus de lecture pour ce partenariat.
Bonne lecture.
Stella et Corwin se promènent tous deux dans les bois lorsqu’ils tombent sur le corps d’un jeune homme, mort récemment. Il a une rose blanche plantée dans le torse mais, fait encore plus étrange, son corps est entouré d’un pentacle d’une puissance extrême empêchant les Vampires de s’en approcher. Même Stella pourtant à moitié sorcière est incapable d’en faire quoi que ce soit. Ils décident de rentrer au Manoir afin d’en parler à Rodrigue, Prince de Londres. Alors qu’une enquête est ouverte et que d’autres cadavres font surface, la Vampire d’Europe de l’Est va découvrir bon nombre de secrets sur la ville qui la retient prisonnière. Simple pion dans un jeu de séduction et de manipulation, difficile de s’y retrouver pour Stella qui peine à y comprendre quelque chose. Liés à ces morts, des secrets bien gardés et un passé inavouable. Mais qui est donc cette mystérieuse Marquise enfermée dans la Tour de Londres ? Quel lien existe-t-il entre elle, ces meurtres et le Prince de Londres ? Une enquête qui promet d’être riche en surprises et en révélations.
Critique :
Je dois le reconnaître, il s’agit là de mon premier roman d’Ambre Dubois (mais certainement pas le dernier). Fait amusant quand on y pense puisque Marquise des Ténèbres est le troisième tome des Soupirs de Londres et non pas le premier. Cependant, l’histoire est indépendante des autres tomes, beaucoup d’informations et d’explications nous sont données au cours du tome ce qui permet de suivre et de comprendre l’histoire. Je n’ai nullement été gênée de ce côté-là. Je compte bien entendu lire les deux premiers tomes, ce serait une erreur de ne pas le faire. Ambre Dubois joue de sa plume à la perfection. L’univers dans lequel l’auteur nous plonge est étouffant, inquiétant et pourtant il semble tellement réaliste à côté des décors, de l’époque, du lieu…
Un bon travail au niveau de la psychologie des personnages, entre Corwin tellement humain pour un Vampire, Stella qui nous reste accessible à notre logique tout en demeurant une vraie Vampire… Il y a également Drake, Vampire séducteur et manipulateur mais pour le moins insaisissable de même que Rodrigue, Prince de Londres au caractère à la fois identique mais terriblement plus effrayant. Difficile de démêler le vrai du faux, entre manipulation, séduction, mensonges et vérités, je dois reconnaître qu’on est très vite perdu, à l’égal de Stella. Puisqu’il s’agissait de mon premier tome lu, j’étais assez surprise par l’arrivée d’un certain détective (je n’en dirai pas plus).
L’intrigue est bien menée, une enquête qu’on aime à suivre même s’il s’agit d’un vrai casse-tête. Difficile de s’y retrouver même lors du dénouement. En somme, un cocktail explosif qui fait de ce roman sur les Vampires un incontournable du genre. Un gros bémol cependant concernant les coquilles tout au long du roman. Certaines fautes sautaient aux yeux, à se demander s’il y a eu une relecture du roman avant publication. Mais c’est la seule chose que je puisse lui reprocher.
Un petit mot concernant la couverture, je l’ai trouvée magnifique. La Marquise est vraiment belle et correspond tout à fait à la description du roman. Mon imagination n’aurait pas fait mieux. Bravo à l’illustratrice.
Je remercie l’auteur, Ambre Dubois pour ce petit bijou de la littérature ainsi que les Éditions du Petit Caveau et bien entendu le forum Accro&Mordus de lecture pour ce partenariat.
Bonne lecture.
Avis d'Aurélie
N'ayant pas lu les deux premiers tomes, ma première appréhension était de ne pas réussir à m'imprégner de l'histoire mais au final... Cela a été tout le contraire !
Les Soupirs de Londres est une saga qui suit les aventures de Stella, vampire de l'Est exilée à Londres par l'Ordre du Psyché, sorte de gouvernement suprême chez les buveurs de sang. Dans ce tome, Stella se retrouve face à une nouvelle enquête qu'elle doit mener pour le compte du Prince de Londres, Rodrigue, qui rend la jeune femme toujours plus nerveuse. D'étranges meurtres sont perpétrés au sein de Londres et ce par un vampire, la présence de traces de crocs ne peut laisser planer le doute. Seulement, une puissante magie entoure les cadavres qui n'ont pas fini de révéler leurs secrets... Aidée de Corwin, de Drake qui l'insupporte toujours au plus haut point et d'autres alliés, Stella va mener l'enquête. Seulement, elle n'en ressortira pas indemne et va devoir se confronter à une réalité des plus déplaisantes...
J'ai accroché à l'histoire dès les premiers chapitres pour plusieurs raisons. Premièrement, la plume d'Ambre Dubois : j'ai découvert l'auteur via cet ouvrage et je ne le regrette pas. Elle possède un style qui fait qu'on ne peut que se laisser séduire par ses mots. Elle ne s'encombre pas de superflu, elle choisit avec talent la phrase qui tient en haleine ou celle qui fait qu'on en veut plus, toujours plus. Ensuite, elle distille vraiment les relations entre ses personnages et ça m'a permis de prendre la machine en route : il me manquait des informations sur les personnages mais rien qui ne puisse m'empêcher de comprendre l'intrigue et ça, c'était juste génial. Cet égrenage des liens, des sentiments, du passé des personnages est aussi un de ses atouts : on est entourés de mystères, autant par l'enquête que par les personnages eux-mêmes.
D'ailleurs, les personnages sont fascinants. Stella est notre narratrice et on découvre avec elle son entourage. Corwin se révèle, il prend des initiatives et est un soutien nécessaire à notre héroïne. Le Prince, lui, reste énigmatique et ce jusqu'au bout. On apprend très peu de choses à son sujet et encore, on ne sait même pas si on peut se fier à toutes ces informations : c'est encore un coup de maître qui va me pousser à continuer la saga. Drake est le personnage qui m'a le plus fascinée : il se dévoile peu à peu mais sans rien offrir de dangereux pour lui, sans perdre la face. Il laisse Stella pénétrer dans un pan de son histoire pour gagner sa confiance. Il a des tas de choses à cacher, il anticipe chacun de ses coups et semble même anticiper ceux de ses adversaires. De plus, sa relation avec Stella est juste addictive : je retenais mon souffle en lisant les passages où il la frôle, où il joue avec elle, où il la pousse à bout... Elle est suffisamment forte pour résister et ça fait tout l'intérêt de leur lien (même si je dois avouer avoir eu envie dès leurs premières scènes voir Stella succomber puis regretter). Enfin, la Marquise est un personnage intriguant que j'ai envie de revoir, de connaître, de comprendre...
L'enquête en elle-même est haletante, elle surprend par moment et nous laisse sur un goût d'inachevé torturant : on sait que les conséquences vont arriver dans le prochain tome et attendre va être long. Le seul bémol de l'histoire reste pour moi la façon dont Stella parvient à se débarrasser du tueur... J'ai trouvé ça un peu facile et je me suis dit "Oh, déjà ?" mais en même temps, c'était soit ça, soit elle y passait et ça aurait été dommage que ses aventures ne s'arrêtent là.
Au final, un très bon ouvrage qui se laisse lire, s'apprécie et peut se passer des tomes précédents. Enfin, on peut s'en passer avant de terminer ce tome car une fois le livre refermé, j'ai décrété que j'allais lire cette saga ! Quelques petites fautes repérées dans le livre mais rien de bien perturbant pour ma lecture...
Merci au forum et aux éditions du petit caveau pour ce partenariat qui m'a permis de découvrir un auteur et une saga dont je suis déjà folle... Je ne le conseille pas à un public trop jeune mais il plaira à tous les fans du genre et aux nostalgiques des vampires qui sont réellement maudits : là, au moins, être vampire ne signifie pas avoir la belle vie...
Les Soupirs de Londres est une saga qui suit les aventures de Stella, vampire de l'Est exilée à Londres par l'Ordre du Psyché, sorte de gouvernement suprême chez les buveurs de sang. Dans ce tome, Stella se retrouve face à une nouvelle enquête qu'elle doit mener pour le compte du Prince de Londres, Rodrigue, qui rend la jeune femme toujours plus nerveuse. D'étranges meurtres sont perpétrés au sein de Londres et ce par un vampire, la présence de traces de crocs ne peut laisser planer le doute. Seulement, une puissante magie entoure les cadavres qui n'ont pas fini de révéler leurs secrets... Aidée de Corwin, de Drake qui l'insupporte toujours au plus haut point et d'autres alliés, Stella va mener l'enquête. Seulement, elle n'en ressortira pas indemne et va devoir se confronter à une réalité des plus déplaisantes...
J'ai accroché à l'histoire dès les premiers chapitres pour plusieurs raisons. Premièrement, la plume d'Ambre Dubois : j'ai découvert l'auteur via cet ouvrage et je ne le regrette pas. Elle possède un style qui fait qu'on ne peut que se laisser séduire par ses mots. Elle ne s'encombre pas de superflu, elle choisit avec talent la phrase qui tient en haleine ou celle qui fait qu'on en veut plus, toujours plus. Ensuite, elle distille vraiment les relations entre ses personnages et ça m'a permis de prendre la machine en route : il me manquait des informations sur les personnages mais rien qui ne puisse m'empêcher de comprendre l'intrigue et ça, c'était juste génial. Cet égrenage des liens, des sentiments, du passé des personnages est aussi un de ses atouts : on est entourés de mystères, autant par l'enquête que par les personnages eux-mêmes.
D'ailleurs, les personnages sont fascinants. Stella est notre narratrice et on découvre avec elle son entourage. Corwin se révèle, il prend des initiatives et est un soutien nécessaire à notre héroïne. Le Prince, lui, reste énigmatique et ce jusqu'au bout. On apprend très peu de choses à son sujet et encore, on ne sait même pas si on peut se fier à toutes ces informations : c'est encore un coup de maître qui va me pousser à continuer la saga. Drake est le personnage qui m'a le plus fascinée : il se dévoile peu à peu mais sans rien offrir de dangereux pour lui, sans perdre la face. Il laisse Stella pénétrer dans un pan de son histoire pour gagner sa confiance. Il a des tas de choses à cacher, il anticipe chacun de ses coups et semble même anticiper ceux de ses adversaires. De plus, sa relation avec Stella est juste addictive : je retenais mon souffle en lisant les passages où il la frôle, où il joue avec elle, où il la pousse à bout... Elle est suffisamment forte pour résister et ça fait tout l'intérêt de leur lien (même si je dois avouer avoir eu envie dès leurs premières scènes voir Stella succomber puis regretter). Enfin, la Marquise est un personnage intriguant que j'ai envie de revoir, de connaître, de comprendre...
L'enquête en elle-même est haletante, elle surprend par moment et nous laisse sur un goût d'inachevé torturant : on sait que les conséquences vont arriver dans le prochain tome et attendre va être long. Le seul bémol de l'histoire reste pour moi la façon dont Stella parvient à se débarrasser du tueur... J'ai trouvé ça un peu facile et je me suis dit "Oh, déjà ?" mais en même temps, c'était soit ça, soit elle y passait et ça aurait été dommage que ses aventures ne s'arrêtent là.
Au final, un très bon ouvrage qui se laisse lire, s'apprécie et peut se passer des tomes précédents. Enfin, on peut s'en passer avant de terminer ce tome car une fois le livre refermé, j'ai décrété que j'allais lire cette saga ! Quelques petites fautes repérées dans le livre mais rien de bien perturbant pour ma lecture...
Merci au forum et aux éditions du petit caveau pour ce partenariat qui m'a permis de découvrir un auteur et une saga dont je suis déjà folle... Je ne le conseille pas à un public trop jeune mais il plaira à tous les fans du genre et aux nostalgiques des vampires qui sont réellement maudits : là, au moins, être vampire ne signifie pas avoir la belle vie...
Avis de Chouquette
Marquise des Ténèbres est le 3e tome de la saga « Les Soupirs de Londres » et actuellement l’avant dernier puisque, comme nous l’apprend l’auteur tout à la fin de son roman (dans les remerciements), le 4e volume sera le dernier de cette série.
Dans ce tome, que l’on pourrait qualifier d’indépendant des autres puisqu’il n’est pas nécessaire d’avoir lu les deux premiers pour comprendre ce qui se passe, Stella, une vampire exilée de Hongrie, assiste à des morts étranges. En effet, des jeunes hommes sont retrouvés morts, une rose blanche déposée sur eux, dont les épines sont enfoncées dans leur torse, et entourés d’une puissante magie que personne n’avait vu depuis très longtemps. S’ensuit alors nombre d’aventures qui nous conduisent jusque dans les bas fonds de la Tour de Londres et en Écosse pour découvrir le mystérieux meurtrier de ces jeunes hommes, ainsi que ses motivations…
Ma plus grande appréhension quand j’ai commencé ce roman était de ne pas comprendre les relations entre les personnages et de passer à côté de certains points de l’histoire. Et c’est là que l’auteur m’a réellement surprise. En effet, elle nous « résume » en quelque sorte, les évènements qui nous sont nécessaires à la compréhension de l’histoire tout en les intégrant réellement à l’intrigue et sans rendre cela lourd à lire. Ainsi on découvre les personnages de Stella, de Rodrigue (dit le Prince), de Drake etc. tout en comprenant les liens qui les unissent. Et c’est un réel plus, car même si on n’a pas lu les deux premiers tomes, rien ne nous empêche d’attaquer directement le 3e et de comprendre parfaitement ce qui se passe.
De plus, à partir du moment où l’on commence ce livre, où l’on entre dans l’histoire, il est quasiment impossible d’en sortir. L’auteur nous plonge dans la Londres de l’époque, utilisant des détails historiques qui nous prouvent réellement qu’elle sait ce qu’elle nous raconte. Elle nous plonge dans un monde sombre et lugubre, parfois oppressant et nous pousse à nous questionner, à chercher à comprendre ce qui se passe. On s’interroge en même temps que les personnages, on a des surprises avec eux... Bref on vit cette intrigue avec eux. Mais le petit plus qui m’a beaucoup plu ici, c’est tout simplement l’apparition de Sherlock Holmes ! Je dois avouer que je ne m’y attendais pas et pour les adorateurs de Sherlock – comme moi - c’est un réel plaisir de voir ce personnage intégré à un roman. Et surtout dans un roman à la plume si habile.
Parce qu’il faut le dire. La plume d’Ambre Dubois est parfaitement maîtrisée et très agréable à lire ! On se perd dans les pages et dans les mots, qui nous plongent dans un monde tellement différent de celui qu’on connaît qu’on ne saurait presque plus où est la réalité. C’est tout bonnement époustouflant de voir une telle maîtrise et en même temps une telle fluidité dans un roman. Les mots sont bien choisis, les émotions parfaitement exprimées et cet ensemble rend le roman vivant, lui donnant un corps et une âme.
Et si l’écriture d’Ambre Dubois rend son récit vivant, il ne faut pas oublier le principal intérêt d’un roman en dehors de son intrigue : ses personnages. Et ici, les personnages d’Ambre Dubois ont une réelle profondeur: ils ont tous un passé, des émotions, des mystères autour d’eux tout en interagissant entre eux sans pour autant se connaître vraiment. Par moments on a l’impression qu’un véritable fossé les séparent alors qu'ils se côtoient, vivent ensemble et partagent pourtant tant de choses. Et tout cela nous les rend attachant, nous donne envie de les connaître mieux, eux et leurs souffrance, leur vie, ce qui fait d’eux ce qu’ils sont. Surtout par rapport à Stella, avide de liberté mais exilée du lieu où elle aimerait tant se trouver. Parce qu’en plus d’être le personnage principal, Stella est probablement l’une des personnes les plus attachantes de cette histoire, le genre d'être qui vous touche au cœur et à l’âme par sa grande détresse qu’elle essaie de cacher à tous.
Dire que ce roman a été pour moi un véritable coup de cœur serait un bel euphémisme: ce n’est pas seulement pour le roman que j’ai eu un coup de cœur, mais aussi pour son auteur. C’est un récit qui m’a non seulement donné envie de connaître la suite, mais également de lire les deux premiers tomes et de découvrir les autres écrits d’Ambre Dubois. Et je tiens tout particulièrement à remercier A&M et Les Editions du Petit Caveau, qui m’ont permis de lire ce livre, ainsi qu'Ambre Dubois, pour avoir écrit un si beau roman.
Dans ce tome, que l’on pourrait qualifier d’indépendant des autres puisqu’il n’est pas nécessaire d’avoir lu les deux premiers pour comprendre ce qui se passe, Stella, une vampire exilée de Hongrie, assiste à des morts étranges. En effet, des jeunes hommes sont retrouvés morts, une rose blanche déposée sur eux, dont les épines sont enfoncées dans leur torse, et entourés d’une puissante magie que personne n’avait vu depuis très longtemps. S’ensuit alors nombre d’aventures qui nous conduisent jusque dans les bas fonds de la Tour de Londres et en Écosse pour découvrir le mystérieux meurtrier de ces jeunes hommes, ainsi que ses motivations…
Ma plus grande appréhension quand j’ai commencé ce roman était de ne pas comprendre les relations entre les personnages et de passer à côté de certains points de l’histoire. Et c’est là que l’auteur m’a réellement surprise. En effet, elle nous « résume » en quelque sorte, les évènements qui nous sont nécessaires à la compréhension de l’histoire tout en les intégrant réellement à l’intrigue et sans rendre cela lourd à lire. Ainsi on découvre les personnages de Stella, de Rodrigue (dit le Prince), de Drake etc. tout en comprenant les liens qui les unissent. Et c’est un réel plus, car même si on n’a pas lu les deux premiers tomes, rien ne nous empêche d’attaquer directement le 3e et de comprendre parfaitement ce qui se passe.
De plus, à partir du moment où l’on commence ce livre, où l’on entre dans l’histoire, il est quasiment impossible d’en sortir. L’auteur nous plonge dans la Londres de l’époque, utilisant des détails historiques qui nous prouvent réellement qu’elle sait ce qu’elle nous raconte. Elle nous plonge dans un monde sombre et lugubre, parfois oppressant et nous pousse à nous questionner, à chercher à comprendre ce qui se passe. On s’interroge en même temps que les personnages, on a des surprises avec eux... Bref on vit cette intrigue avec eux. Mais le petit plus qui m’a beaucoup plu ici, c’est tout simplement l’apparition de Sherlock Holmes ! Je dois avouer que je ne m’y attendais pas et pour les adorateurs de Sherlock – comme moi - c’est un réel plaisir de voir ce personnage intégré à un roman. Et surtout dans un roman à la plume si habile.
Parce qu’il faut le dire. La plume d’Ambre Dubois est parfaitement maîtrisée et très agréable à lire ! On se perd dans les pages et dans les mots, qui nous plongent dans un monde tellement différent de celui qu’on connaît qu’on ne saurait presque plus où est la réalité. C’est tout bonnement époustouflant de voir une telle maîtrise et en même temps une telle fluidité dans un roman. Les mots sont bien choisis, les émotions parfaitement exprimées et cet ensemble rend le roman vivant, lui donnant un corps et une âme.
Et si l’écriture d’Ambre Dubois rend son récit vivant, il ne faut pas oublier le principal intérêt d’un roman en dehors de son intrigue : ses personnages. Et ici, les personnages d’Ambre Dubois ont une réelle profondeur: ils ont tous un passé, des émotions, des mystères autour d’eux tout en interagissant entre eux sans pour autant se connaître vraiment. Par moments on a l’impression qu’un véritable fossé les séparent alors qu'ils se côtoient, vivent ensemble et partagent pourtant tant de choses. Et tout cela nous les rend attachant, nous donne envie de les connaître mieux, eux et leurs souffrance, leur vie, ce qui fait d’eux ce qu’ils sont. Surtout par rapport à Stella, avide de liberté mais exilée du lieu où elle aimerait tant se trouver. Parce qu’en plus d’être le personnage principal, Stella est probablement l’une des personnes les plus attachantes de cette histoire, le genre d'être qui vous touche au cœur et à l’âme par sa grande détresse qu’elle essaie de cacher à tous.
Dire que ce roman a été pour moi un véritable coup de cœur serait un bel euphémisme: ce n’est pas seulement pour le roman que j’ai eu un coup de cœur, mais aussi pour son auteur. C’est un récit qui m’a non seulement donné envie de connaître la suite, mais également de lire les deux premiers tomes et de découvrir les autres écrits d’Ambre Dubois. Et je tiens tout particulièrement à remercier A&M et Les Editions du Petit Caveau, qui m’ont permis de lire ce livre, ainsi qu'Ambre Dubois, pour avoir écrit un si beau roman.
Avis de RivieredOr
« Décidément, tu es abonnée aux troisièmes tomes avec ce forum ! » Telle a été la première phrase de ma meilleure amie lorsque j’ai exhibé fièrement la Marquise des Ténèbres d’Ambre Dubois. En effet, c’est le deuxième partenariat que je fais où je dois lire un troisième tome, sans bien sûr connaître les autres… Et tout comme la première fois, je ne l’ai pas regretté ! Loin de là, ce livre fut un véritable coup de cœur.
Avant d’être un coup de cœur par sa lecture, il faut préciser que j’ai tout de suite craqué pour la couverture, que je qualifierais de magnifique ! Sombre, mystérieuse et attirante, avec un petit côté étrange qui pourrait en dissuader plus d’un, je l’ai trouvée osée et surtout originale. Le dessin, d’une qualité remarquable, annonce d’emblée la couleur de l’histoire, si bien que l’on sait à quoi s’attendre en se plongeant dans ce livre fascinant.
J’ai retrouvé avec plaisir un univers décrit et utilisé par un très grand nombre d’auteurs : une Londres noire, sombre et oppressante à l’époque de sa grande puissance, pour paraphraser l'auteur. Le siècle d’or de l’Angleterre, où sa capitale s’illumine dans le paysage international comme l’une des plus grandes villes monde : le moment rêvé pour y faire évoluer des personnages tout aussi puissants et riches. Les vampires, créatures là aussi maintes fois utilisées et remâchées à toutes les sauces. Et pourtant, j’insiste là-dessus, Ambre Dubois a su réutiliser l’ancien pour lui redonner toute sa brillance et sa prestance. Cela faisait longtemps que je n’avais pas lu une histoire de vampire où ces derniers pouvaient prétendre arriver à la cheville du Dracula de Bram Stoker… Je n’irais pas jusqu’à dire que ceux de ce roman sont aussi parfaits, mais c’est tout comme. Sans compter que Londres est une de mes villes préférées, et qu’importe le tableau que l’on me peint d’elle, qu’il soit noir ou détruit, comme ici, ou bien clair et virginal, comme dans biens d’autres livres, un roman se passant là-bas aura déjà beaucoup de chance de me plaire.
Quant aux personnages… Parlons-en tiens ! Si je ne les ai pas trouvé assez approfondi dans ce tome-ci, c’est sûrement parce qu’il s’agit du troisième opus de la série et aussi parce qu’ils sont présents dès le premier tome. Pourtant, on sent tout de même leur lourd passé. Chacun d’eux porte un secret, un poids qui alourdit les pages du livre elles-mêmes. Un secret qui les rend plus humains, plus attachants, plus sombres et tristes, ce qui sied parfaitement à leur nature de vampire. Prenons Stella par exemple… Son désir virulent de liberté qui, au fil des pages, est devenu un besoin nécessaire à sa survie, n’est-il pas un des vices cachés de l’être humain ? Ce détail ne la rend-elle pas plus humaine malgré le démon qui l’habite ? Drake, qui lui a su se hisser en haut du podium de mes personnages préférés, n’a-t-il par un passé triste à pleurer ? Et pourtant, j’ai admiré tout au long du roman son courage et, surtout, sa sincérité et sa quasi-pureté dans ce monde fait de jeux de pouvoir tous plus cruels les uns que les autres ! Je n’avais encore jamais vu un auteur manipuler ainsi l’esprit à la fois de ses personnages et de ses lecteurs. Car même à la fin du livre, si Stella semble persuadée d’avoir enfin trouvé son véritable ennemi, je n’en ai pour ma part toujours pas l’intime conviction ! Ainsi le doute persiste et donne très envie de se replonger au plus vite dans les aventures de cette « jeune » femme.
Si tout cela semble donner le mélange détonnant d’un très bon livre, ce qui l’aura finalement élevé au rang de coup de cœur chez moi est la présence d’un autre personnage et d’une allusion à quelqu’un d’autre : non, je ne l’ai pas rêvé, Sherlock Holmes et Lestrade sont aussi présents dans l’histoire. Si ce ne sont que deux pions sur l’échiquier complexe de la trame de son roman, ils ont été pour moi deux allusions essentielles au livre. Dans un premier temps, parce que l’idée de mettre Sherlock dans une Londres pleine de vampires ferait se retourner dans sa tombe le créateur du célèbre détective, mais aussi parce que Sherlock Holmes restera encore et toujours mon personnage préféré de toute la littérature.
Je ne puis achever cette chronique sans dire quelques mots sur la plume de l’auteur. A vraie dire, cela faisait un moment que j’avais repéré cette auteur, mais ce n’est finalement que par cet ouvrage que je la découvre. Comment pourrais-je qualifier son écriture ? Sombre ? Presque torturée ? Mais aussi toute en finesse et en images : c’est une peinture plus qu’un livre qu’elle écrit ici. Fluide et chargée en émotions, ce fut un pur délice, comme une sucrerie, bien que la noirceur de son histoire lui donne un arrière-goût amer ! Ce qui n’est pas pour déplaire, bien au contraire.
En conclusion, ce livre fut une découverte merveilleuse qui me donne envie de découvrir à la fois les premiers tomes de la série, ainsi que tous les autres livres de cette auteur ! Bref… Je ne puis que clore en remerciant chaleureusement les éditions du Petit Caveau ainsi que le forum Le Sanctuaire de la lecture pour ce délicieux partenariat.
Avant d’être un coup de cœur par sa lecture, il faut préciser que j’ai tout de suite craqué pour la couverture, que je qualifierais de magnifique ! Sombre, mystérieuse et attirante, avec un petit côté étrange qui pourrait en dissuader plus d’un, je l’ai trouvée osée et surtout originale. Le dessin, d’une qualité remarquable, annonce d’emblée la couleur de l’histoire, si bien que l’on sait à quoi s’attendre en se plongeant dans ce livre fascinant.
J’ai retrouvé avec plaisir un univers décrit et utilisé par un très grand nombre d’auteurs : une Londres noire, sombre et oppressante à l’époque de sa grande puissance, pour paraphraser l'auteur. Le siècle d’or de l’Angleterre, où sa capitale s’illumine dans le paysage international comme l’une des plus grandes villes monde : le moment rêvé pour y faire évoluer des personnages tout aussi puissants et riches. Les vampires, créatures là aussi maintes fois utilisées et remâchées à toutes les sauces. Et pourtant, j’insiste là-dessus, Ambre Dubois a su réutiliser l’ancien pour lui redonner toute sa brillance et sa prestance. Cela faisait longtemps que je n’avais pas lu une histoire de vampire où ces derniers pouvaient prétendre arriver à la cheville du Dracula de Bram Stoker… Je n’irais pas jusqu’à dire que ceux de ce roman sont aussi parfaits, mais c’est tout comme. Sans compter que Londres est une de mes villes préférées, et qu’importe le tableau que l’on me peint d’elle, qu’il soit noir ou détruit, comme ici, ou bien clair et virginal, comme dans biens d’autres livres, un roman se passant là-bas aura déjà beaucoup de chance de me plaire.
Quant aux personnages… Parlons-en tiens ! Si je ne les ai pas trouvé assez approfondi dans ce tome-ci, c’est sûrement parce qu’il s’agit du troisième opus de la série et aussi parce qu’ils sont présents dès le premier tome. Pourtant, on sent tout de même leur lourd passé. Chacun d’eux porte un secret, un poids qui alourdit les pages du livre elles-mêmes. Un secret qui les rend plus humains, plus attachants, plus sombres et tristes, ce qui sied parfaitement à leur nature de vampire. Prenons Stella par exemple… Son désir virulent de liberté qui, au fil des pages, est devenu un besoin nécessaire à sa survie, n’est-il pas un des vices cachés de l’être humain ? Ce détail ne la rend-elle pas plus humaine malgré le démon qui l’habite ? Drake, qui lui a su se hisser en haut du podium de mes personnages préférés, n’a-t-il par un passé triste à pleurer ? Et pourtant, j’ai admiré tout au long du roman son courage et, surtout, sa sincérité et sa quasi-pureté dans ce monde fait de jeux de pouvoir tous plus cruels les uns que les autres ! Je n’avais encore jamais vu un auteur manipuler ainsi l’esprit à la fois de ses personnages et de ses lecteurs. Car même à la fin du livre, si Stella semble persuadée d’avoir enfin trouvé son véritable ennemi, je n’en ai pour ma part toujours pas l’intime conviction ! Ainsi le doute persiste et donne très envie de se replonger au plus vite dans les aventures de cette « jeune » femme.
Si tout cela semble donner le mélange détonnant d’un très bon livre, ce qui l’aura finalement élevé au rang de coup de cœur chez moi est la présence d’un autre personnage et d’une allusion à quelqu’un d’autre : non, je ne l’ai pas rêvé, Sherlock Holmes et Lestrade sont aussi présents dans l’histoire. Si ce ne sont que deux pions sur l’échiquier complexe de la trame de son roman, ils ont été pour moi deux allusions essentielles au livre. Dans un premier temps, parce que l’idée de mettre Sherlock dans une Londres pleine de vampires ferait se retourner dans sa tombe le créateur du célèbre détective, mais aussi parce que Sherlock Holmes restera encore et toujours mon personnage préféré de toute la littérature.
Je ne puis achever cette chronique sans dire quelques mots sur la plume de l’auteur. A vraie dire, cela faisait un moment que j’avais repéré cette auteur, mais ce n’est finalement que par cet ouvrage que je la découvre. Comment pourrais-je qualifier son écriture ? Sombre ? Presque torturée ? Mais aussi toute en finesse et en images : c’est une peinture plus qu’un livre qu’elle écrit ici. Fluide et chargée en émotions, ce fut un pur délice, comme une sucrerie, bien que la noirceur de son histoire lui donne un arrière-goût amer ! Ce qui n’est pas pour déplaire, bien au contraire.
En conclusion, ce livre fut une découverte merveilleuse qui me donne envie de découvrir à la fois les premiers tomes de la série, ainsi que tous les autres livres de cette auteur ! Bref… Je ne puis que clore en remerciant chaleureusement les éditions du Petit Caveau ainsi que le forum Le Sanctuaire de la lecture pour ce délicieux partenariat.
Avis de Lady Swan
J'avais quelques appréhensions à lire le troisième tome de cette saga sans avoir lu les deux premiers.
Je m'étais pourtant trompée sur toute la ligne car ce roman a été pour moi une magnifique découverte.
Ce sera facile d'écrire une chronique pour un roman d'une telle envergure.
Nous retrouvons, dans ce tome, Stella, la vampire hongroise exilée à Londres par l'Ordre de Psychée (organisation qui s'occupe de maintenir l'ordre au sein de la communauté immortelle). Elle est maintenant sous les ordres du Prince de Londres, Rodrigue qui la chargera de résoudre une série de meurtres mystérieux. Stella se retrouve donc à devoir jongler entre son désir de liberté, la nostalgie de son pays natal et une enquête qui devient de plus en plus compliquée. Elle sera accompagnée de son jeune protégé, Corwin ainsi que de l'insolent et énigmatique Drake. Une nouvelle aventure qui s'annonce des plus mouvementé!
Ce roman m'a tout d'abord attirée car il se déroule à une époque fascinante de l'histoire anglaise : l'époque victorienne, le XIXe siècle. On peut très bien s'imaginer les véhicules conduits par des chevaux, les bâtiments anciens, les costumes et robes de l'époque. J'ai toujours aimé les romans se passant à ce moment de l'histoire. Par contre, c'était la première fois que j'avais la chance d'en lire un y impliquant des vampires. C'était décidément une recette gagnante. Il règne tout au long de l'histoire une atmosphère mélancolique et brumeuse. Le titre de la saga devient un peu plus significatif ainsi. De plus, j'ai aimé que l'action démarre presque instantanément. L'auteure nous plonge très vite dans ses aventures et le suspense reste jusqu'à la fin. Je soupçonne aussi l'auteure de nous laisser des indices concernant le prochain et ultime tome. Des phrases très subtiles qui m'ont amenée à plusieurs réflexions concernant les prochains évènements et les intentions de certains personnages...
Ce qui m'amène aux personnages qui sont au cœur de cette histoire. Dans la plupart des romans que j'ai pu lire, les auteurs ne m'ont présenté que des personnages féminins faibles en caractère. J'ai été souvent déçue, mais cette fois-ci, ça n'a pas été le cas. Stella est un personnage fascinant et très bien construit. Elle a une forte personnalité, un caractère changeant. J'en redemandais chaque fois. Ses remarques cinglantes mais dites d'une manière tellement polie qu'elles passent pratiquement inaperçues. J'ai bien aimé la relation qu'elle entretient avec Drake. Il est le genre de personnage que toutes les femmes rêvent de connaître, moi y compris, mais qui, comme il le fait avec Stella, aurait le don de nous agacer. Il est sans doute le personnage que je préfère. On ne peut qu'en redemander! Ce vampire a une personnalité très changeante et très énigmatique. Il peut se montrer d'une douceur désarmante et d'une brutalité déroutante. Je me demande encore ce qu'il adviendra de leur relation.
Il a constamment ce sourire en coin, et son insolence qui fait tout son charme. J'ai bien aimé le lien qui unit Corwin et Stella. Une amitié inconditionnelle et à toutes épreuves. Il apprend petit à petit à accepter son nouvel état de vampire mais il garde son côté très humain qui le distingue de beaucoup d'autres.
Le plume de l'auteure est magique. Je ne saurais pas trouver d'autres qualificatifs. L'auteure a su m'emmener dans son univers et m'a complètement captivée. On se laisse facilement entraîner dans la capitale anglaise. On se l'imagine très bien et avec précision. Une image m'a particulièrement marquée : celle du démon intérieur que tous les vampires tentent de contrôler. Je ne pourrais pas dire avec certitude si c'est une métaphore ou une réalité dans cette histoire, mais elle donne beaucoup de sens à l'origine des vampires dans cette saga.
Je suis donc en admiration devant le travail d'Ambre Dubois et je peux affirmer que je lirai les deux premiers tomes ainsi que la suite de celui-ci. J'ai été captivée du début jusqu'à la fin et ce roman a été un véritable coup de cœur!
Je m'étais pourtant trompée sur toute la ligne car ce roman a été pour moi une magnifique découverte.
Ce sera facile d'écrire une chronique pour un roman d'une telle envergure.
Nous retrouvons, dans ce tome, Stella, la vampire hongroise exilée à Londres par l'Ordre de Psychée (organisation qui s'occupe de maintenir l'ordre au sein de la communauté immortelle). Elle est maintenant sous les ordres du Prince de Londres, Rodrigue qui la chargera de résoudre une série de meurtres mystérieux. Stella se retrouve donc à devoir jongler entre son désir de liberté, la nostalgie de son pays natal et une enquête qui devient de plus en plus compliquée. Elle sera accompagnée de son jeune protégé, Corwin ainsi que de l'insolent et énigmatique Drake. Une nouvelle aventure qui s'annonce des plus mouvementé!
Ce roman m'a tout d'abord attirée car il se déroule à une époque fascinante de l'histoire anglaise : l'époque victorienne, le XIXe siècle. On peut très bien s'imaginer les véhicules conduits par des chevaux, les bâtiments anciens, les costumes et robes de l'époque. J'ai toujours aimé les romans se passant à ce moment de l'histoire. Par contre, c'était la première fois que j'avais la chance d'en lire un y impliquant des vampires. C'était décidément une recette gagnante. Il règne tout au long de l'histoire une atmosphère mélancolique et brumeuse. Le titre de la saga devient un peu plus significatif ainsi. De plus, j'ai aimé que l'action démarre presque instantanément. L'auteure nous plonge très vite dans ses aventures et le suspense reste jusqu'à la fin. Je soupçonne aussi l'auteure de nous laisser des indices concernant le prochain et ultime tome. Des phrases très subtiles qui m'ont amenée à plusieurs réflexions concernant les prochains évènements et les intentions de certains personnages...
Ce qui m'amène aux personnages qui sont au cœur de cette histoire. Dans la plupart des romans que j'ai pu lire, les auteurs ne m'ont présenté que des personnages féminins faibles en caractère. J'ai été souvent déçue, mais cette fois-ci, ça n'a pas été le cas. Stella est un personnage fascinant et très bien construit. Elle a une forte personnalité, un caractère changeant. J'en redemandais chaque fois. Ses remarques cinglantes mais dites d'une manière tellement polie qu'elles passent pratiquement inaperçues. J'ai bien aimé la relation qu'elle entretient avec Drake. Il est le genre de personnage que toutes les femmes rêvent de connaître, moi y compris, mais qui, comme il le fait avec Stella, aurait le don de nous agacer. Il est sans doute le personnage que je préfère. On ne peut qu'en redemander! Ce vampire a une personnalité très changeante et très énigmatique. Il peut se montrer d'une douceur désarmante et d'une brutalité déroutante. Je me demande encore ce qu'il adviendra de leur relation.
Il a constamment ce sourire en coin, et son insolence qui fait tout son charme. J'ai bien aimé le lien qui unit Corwin et Stella. Une amitié inconditionnelle et à toutes épreuves. Il apprend petit à petit à accepter son nouvel état de vampire mais il garde son côté très humain qui le distingue de beaucoup d'autres.
Le plume de l'auteure est magique. Je ne saurais pas trouver d'autres qualificatifs. L'auteure a su m'emmener dans son univers et m'a complètement captivée. On se laisse facilement entraîner dans la capitale anglaise. On se l'imagine très bien et avec précision. Une image m'a particulièrement marquée : celle du démon intérieur que tous les vampires tentent de contrôler. Je ne pourrais pas dire avec certitude si c'est une métaphore ou une réalité dans cette histoire, mais elle donne beaucoup de sens à l'origine des vampires dans cette saga.
Je suis donc en admiration devant le travail d'Ambre Dubois et je peux affirmer que je lirai les deux premiers tomes ainsi que la suite de celui-ci. J'ai été captivée du début jusqu'à la fin et ce roman a été un véritable coup de cœur!
Avis de Lolly
À Londres, la vie est très agitée : d’étranges cadavres apparaissent en effet dans la capitale, une rose blanche plantée sur leur torse et entourés d’une mystérieuse magie. Stella, vampire exilée de Hongrie, est chargée par le Prince de la ville de découvrir le responsable de ces crimes avant que l’affaire ne menace la communauté vampirique. Mais, dans ce monde impitoyable de secrets et de machinations, ce n’est pas tâche facile. Marquise des Ténèbres, le troisième tome de la saga Les Soupirs de Londres, nous fait voyager de la Tour de Londres aux anciennes contrées d’Écosse pour tenter de découvrir la vérité.
Quelle idée de commencer par lire le troisième tome d’une saga ! En effet, tous ceux qui me connaissent savent probablement que ce n’est pas dans mes habitudes. Pourtant, je dois avouer que je ne le regrette pas… et que je compte bien me procurer les deux volumes précédents, ainsi que celui à venir. Vous l’aurez probablement compris, La Marquise des Ténèbres a été pour moi un vrai coup de cœur.
C’est en lisant le résumé et d’autres critiques très positives que je me suis laissé tenter. Forcément, une intrigue qui se déroule dans la ville de Londres, une ville que je connais bien et que j’adore, c’est intéressant, mais c’est aussi risqué parce qu’il m’est très souvent arrivé d’être déçue. Déçue du manque de détails, des descriptions peu réalistes, de l’ambiance « cliché ». Dans son roman, Ambre Dubois a su exploiter avec un brillant succès les avantages de cet endroit historique. Nous sommes immédiatement plongés dans ses rues obscures et, grâce à de nombreuses brèves descriptions intégrées au récit, nous nous imprégnons de l’ambiance des lieux sans même nous en rendre compte, à tel point que nous pouvons sans peine nous représenter le décor des scènes. De plus, le petit voyage en Écosse, bien que très court, m’a beaucoup plu.
Le fait que l’intrigue se déroule à l’époque victorienne est un choix qui me semble extrêmement judicieux, car il va de pair avec l’intrigue, emplie de tentatives de séduction, de jeux de pouvoir, de manipulation et de sombres secrets… en bref, avec le peuple des vampires de la capitale. L’introduction de ces personnages surréalistes dans une ville connue et à une époque historique est un mélange extrêmement intéressant et très inhabituel.
Je dois avouer que je ne partage pas la fièvre actuelle de toutes les sagas de vampires comme Twilight. Plus encore, c’est un genre que je ne connais pas du tout – sauf, bien sûr, pour avoir lu Dracula de Bram Stoker – et qui ne m’attire généralement pas, mais je pressentais que Marquise des Ténèbres serait différent, une sorte d’équilibre entre la réalité et le surnaturel. Bien que centrés sur la communauté de vampires de la capitale, nous sommes constamment en relation avec ce qui se passe dans le monde des hommes, ce qui, pour moi, ajoute du crédit à l’histoire.
La grande force du roman réside tout d’abord dans les personnages, qui ont tous une véritable personnalité et un caractère fin. Même si on ne les a pas rencontrés dans les tomes précédents, on arrive à les cerner relativement rapidement et ce, plus grâce à leur manière d’agir qu’à de longues descriptions. Je me suis immédiatement prise d’affection pour Stella : elle n’est ni la typique héroïne faible et manipulée qui doute d’elle-même, ni la super héroïne qui peut vaincre tout le monde et gagner à tous les coups. En tant que personnage central du roman, nous avons l’impression que les autres protagonistes gravitent autour d’elle. La relation qu’elle entretient avec Drake, en particulier, est étrange et complexe et m’a beaucoup plu. Quant au Prince, il est si mystérieux qu’il attire forcément l’attention : quel est son passé ? Quel est son but ? Puis, parmi ces êtres difficiles à comprendre, nous avons Corwin, touchant par son côté humain, ainsi que deux hommes intéressants : un détective et… Sherlock Holmes.
On voit donc que l’auteur sort des sentiers battus et nous propose des personnages développés qui ont chacun un rôle précis à jouer… bien que nous ne sachions pas – encore – toujours à quoi nous en tenir. C'est là un autre point fort de ce livre : l’intrigue en elle-même. Nous nous retrouvons immédiatement submergés dans le mystère de la Tour de Londres mais, plus que la résolution de l’enquête, c’est l’histoire qui va avec qui m’a intéressée. Le passé des personnages, leurs motivations, leurs buts, leurs rêves… Être immortel n’est pas si simple et, après avoir refermé le livre, j’en reste à me demander qui dit la vérité et qui ment pour manipuler et parvenir à ses fins… Ce qui, bien évidemment, donne envie de découvrir la suite !
Commencer par le troisième tome de la saga ne m’a posé aucun problème. Je dois admettre que j’avais quelques appréhensions à l’idée de ne pas connaître les personnages et de ne pas savoir ce qui s’est passé auparavant, mais je me suis bien vite rendu compte que ce n’était pas important. Le personnage de Corwin est, il me semble, important car il permet une introduction en douceur tout en évitant des descriptions qui paraîtraient peut-être quelque peu artificielles. En raison de sa récente transformation en vampire, il ignore encore bon nombre de choses sur ces êtres et Stella lui donne des explications, en profitant ainsi pour rappeler aux lecteurs les éléments clés les concernant.
La manière dont Ambre Dubois conçoit les vampires m'a beaucoup plu, en particulier en ce qui concerne leur démon intérieur, une image qui m’a vraiment parlé. Les différences d’ancienneté, les pouvoirs et les capacités de chacun… tout est exploité et explicité, ce qui nous permet de nous faire une idée claire du fonctionnement de la communauté, malgré les mystères qui continuent à planer sur la Tour de Londres.
La plume de l’auteur m’a enchantée, en particulier lors des descriptions de la ville et des dialogues. Ce qui est sûr, c’est qu’Ambre Dubois sait utiliser ses connaissances pour nous entraîner dans l’histoire. Je dois quand même soulever un point négatif qui m’a beaucoup dérangée dans ma lecture : les coquilles à répétitions, que ce soient des erreurs d’orthographe, une mauvaise ponctuation ou, surtout, des fautes de frappe et de typographie. Je dois dire que j’ai été passablement gênée au fil des pages et je trouve cela vraiment dommage, en particulier dans un roman qui frôle la perfection sous tous ses autres aspects – personnages, couverture, intrigue, plume de l’auteur.
Je termine en remerciant le forum A&M pour l’organisation de ce partenariat, les Éditions du Petit Caveau pour leur confiance et, bien sûr, l’auteur, pour cette intrigue extraordinaire. En attendant la suite, je n’ai plus qu’à lire le début de la saga.
Quelle idée de commencer par lire le troisième tome d’une saga ! En effet, tous ceux qui me connaissent savent probablement que ce n’est pas dans mes habitudes. Pourtant, je dois avouer que je ne le regrette pas… et que je compte bien me procurer les deux volumes précédents, ainsi que celui à venir. Vous l’aurez probablement compris, La Marquise des Ténèbres a été pour moi un vrai coup de cœur.
C’est en lisant le résumé et d’autres critiques très positives que je me suis laissé tenter. Forcément, une intrigue qui se déroule dans la ville de Londres, une ville que je connais bien et que j’adore, c’est intéressant, mais c’est aussi risqué parce qu’il m’est très souvent arrivé d’être déçue. Déçue du manque de détails, des descriptions peu réalistes, de l’ambiance « cliché ». Dans son roman, Ambre Dubois a su exploiter avec un brillant succès les avantages de cet endroit historique. Nous sommes immédiatement plongés dans ses rues obscures et, grâce à de nombreuses brèves descriptions intégrées au récit, nous nous imprégnons de l’ambiance des lieux sans même nous en rendre compte, à tel point que nous pouvons sans peine nous représenter le décor des scènes. De plus, le petit voyage en Écosse, bien que très court, m’a beaucoup plu.
Le fait que l’intrigue se déroule à l’époque victorienne est un choix qui me semble extrêmement judicieux, car il va de pair avec l’intrigue, emplie de tentatives de séduction, de jeux de pouvoir, de manipulation et de sombres secrets… en bref, avec le peuple des vampires de la capitale. L’introduction de ces personnages surréalistes dans une ville connue et à une époque historique est un mélange extrêmement intéressant et très inhabituel.
Je dois avouer que je ne partage pas la fièvre actuelle de toutes les sagas de vampires comme Twilight. Plus encore, c’est un genre que je ne connais pas du tout – sauf, bien sûr, pour avoir lu Dracula de Bram Stoker – et qui ne m’attire généralement pas, mais je pressentais que Marquise des Ténèbres serait différent, une sorte d’équilibre entre la réalité et le surnaturel. Bien que centrés sur la communauté de vampires de la capitale, nous sommes constamment en relation avec ce qui se passe dans le monde des hommes, ce qui, pour moi, ajoute du crédit à l’histoire.
La grande force du roman réside tout d’abord dans les personnages, qui ont tous une véritable personnalité et un caractère fin. Même si on ne les a pas rencontrés dans les tomes précédents, on arrive à les cerner relativement rapidement et ce, plus grâce à leur manière d’agir qu’à de longues descriptions. Je me suis immédiatement prise d’affection pour Stella : elle n’est ni la typique héroïne faible et manipulée qui doute d’elle-même, ni la super héroïne qui peut vaincre tout le monde et gagner à tous les coups. En tant que personnage central du roman, nous avons l’impression que les autres protagonistes gravitent autour d’elle. La relation qu’elle entretient avec Drake, en particulier, est étrange et complexe et m’a beaucoup plu. Quant au Prince, il est si mystérieux qu’il attire forcément l’attention : quel est son passé ? Quel est son but ? Puis, parmi ces êtres difficiles à comprendre, nous avons Corwin, touchant par son côté humain, ainsi que deux hommes intéressants : un détective et… Sherlock Holmes.
On voit donc que l’auteur sort des sentiers battus et nous propose des personnages développés qui ont chacun un rôle précis à jouer… bien que nous ne sachions pas – encore – toujours à quoi nous en tenir. C'est là un autre point fort de ce livre : l’intrigue en elle-même. Nous nous retrouvons immédiatement submergés dans le mystère de la Tour de Londres mais, plus que la résolution de l’enquête, c’est l’histoire qui va avec qui m’a intéressée. Le passé des personnages, leurs motivations, leurs buts, leurs rêves… Être immortel n’est pas si simple et, après avoir refermé le livre, j’en reste à me demander qui dit la vérité et qui ment pour manipuler et parvenir à ses fins… Ce qui, bien évidemment, donne envie de découvrir la suite !
Commencer par le troisième tome de la saga ne m’a posé aucun problème. Je dois admettre que j’avais quelques appréhensions à l’idée de ne pas connaître les personnages et de ne pas savoir ce qui s’est passé auparavant, mais je me suis bien vite rendu compte que ce n’était pas important. Le personnage de Corwin est, il me semble, important car il permet une introduction en douceur tout en évitant des descriptions qui paraîtraient peut-être quelque peu artificielles. En raison de sa récente transformation en vampire, il ignore encore bon nombre de choses sur ces êtres et Stella lui donne des explications, en profitant ainsi pour rappeler aux lecteurs les éléments clés les concernant.
La manière dont Ambre Dubois conçoit les vampires m'a beaucoup plu, en particulier en ce qui concerne leur démon intérieur, une image qui m’a vraiment parlé. Les différences d’ancienneté, les pouvoirs et les capacités de chacun… tout est exploité et explicité, ce qui nous permet de nous faire une idée claire du fonctionnement de la communauté, malgré les mystères qui continuent à planer sur la Tour de Londres.
La plume de l’auteur m’a enchantée, en particulier lors des descriptions de la ville et des dialogues. Ce qui est sûr, c’est qu’Ambre Dubois sait utiliser ses connaissances pour nous entraîner dans l’histoire. Je dois quand même soulever un point négatif qui m’a beaucoup dérangée dans ma lecture : les coquilles à répétitions, que ce soient des erreurs d’orthographe, une mauvaise ponctuation ou, surtout, des fautes de frappe et de typographie. Je dois dire que j’ai été passablement gênée au fil des pages et je trouve cela vraiment dommage, en particulier dans un roman qui frôle la perfection sous tous ses autres aspects – personnages, couverture, intrigue, plume de l’auteur.
Je termine en remerciant le forum A&M pour l’organisation de ce partenariat, les Éditions du Petit Caveau pour leur confiance et, bien sûr, l’auteur, pour cette intrigue extraordinaire. En attendant la suite, je n’ai plus qu’à lire le début de la saga.
D'autres chroniques ici.
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