Nombre de pages : 300 pages
Date de parution : 2012
Fiche du Livre
Quatrième de couverture
L’Amour, comme une quête de bonheur, une aspiration impossible, une soif d’absolu, la recherche de l’âme-sœur.
L’Amour qui attend le bon moment pour s’en venir, qui lutte contre le temps, qui demeure une vie entière ou un bref instant.
L’Amour enflammant le corps, troublant la raison et l’esprit, dépassant les limites du genre ou de la mort.
L’Amour qui transcende l’espace, la matière, l’être et ce qu’on a de plus précieux, l’étincelle en nous qui sait donner la vie.
Qu’elles prennent un tour sensuel, fantastique, comique ou tragique, ces vingt-trois histoires d’amour vous porteront à la rencontre de personnages attachants, convaincus de la force du sentiment amoureux et de son unicité.
Date de parution : 2012
Fiche du Livre
Quatrième de couverture
L’Amour, comme une quête de bonheur, une aspiration impossible, une soif d’absolu, la recherche de l’âme-sœur.
L’Amour qui attend le bon moment pour s’en venir, qui lutte contre le temps, qui demeure une vie entière ou un bref instant.
L’Amour enflammant le corps, troublant la raison et l’esprit, dépassant les limites du genre ou de la mort.
L’Amour qui transcende l’espace, la matière, l’être et ce qu’on a de plus précieux, l’étincelle en nous qui sait donner la vie.
Qu’elles prennent un tour sensuel, fantastique, comique ou tragique, ces vingt-trois histoires d’amour vous porteront à la rencontre de personnages attachants, convaincus de la force du sentiment amoureux et de son unicité.
Avis d'Aurélie
Histoires d'Amour est une anthologie qui reprend le célèbre thème de l'amour, chéri par la littérature, mais qui lui apporte une dose de nouveauté grâce à ses auteurs aux styles réellement différents et à sa suite logique. L'anthologie débute avec une recherche de l'amour en 6 nouvelles où l'on suit toutes sortes de personnages qui se laissent peu à peu capturer par ce sentiment si complexe et tellement propre à chaque personne : on passe de l'amour rêvé à l'amour qui nous tombe dessus sans qu'on s'y attende ou encore à l'amour espéré, tant attendu mais qui ne se manifeste pas et qu'on cherche à provoquer... Ensuite vient Le temps d'aimer, en 6 nouvelles, avec ces amours auxquels il faut laisser le temps ou encore ceux qui traversent les temps et leurs épreuves en s'effritant mais sans s'éteindre, ou encore le fil des amours d'une vie pour savoir qu'on n'en a au final qu'un seul... Quand les sentiments se transforment en amour fou, en 6 nouvelles encore, ils peuvent prendre de nombreuses formes : de l'amour passionnel à l'amour aveugle, en passant par l'amour insensé. Mais faire Le don de l'amour, l'amour pur et réel, n'est pas chose aisée et c'est à travers 5 nouvelles qu'est clôturé ce périple.
La couverture de l'anthologie ne m'a pas séduite. Je ne m'arrête pas aux premières impressions quand je sais que je veux lire un livre, mais lorsque je furète en librairie, je m'intéresse aux livres dont les couvertures attirent mon regard et je pense que je n'aurais pas choisi celle-ci. Elle est belle, elle colle au thème mais elle est trop rose et rouge. Le titre évoque déjà explicitement le thème de l'anthologie et une couverture comme celle-là insiste trop. Après, c'est une question de goût.
La préface d'un livre en dit toujours trop pour moi c'est pourquoi je préfère la lire à la fin, une fois toutes les nouvelles terminées, pour être sûre de garder le suspense jusqu'au bout. La préface du livre est intéressante car elle place le contexte, mais surtout elle éclaire réellement sur le lien logique entre les différentes nouvelles et leur agencement. J'ai apprécié cet arrangement d'ailleurs, le fait de commencer par les débuts de l'amour et de progresser doucement vers quelque chose de plus intense. C'est un excellent point pour l'anthologie.
La recherche de l'amour est la première partie du livre, mais aussi celle à laquelle je n'ai pas accroché : ça vient principalement de moi et de mes goûts. Je n'apprécie pas souvent les écrits décrivant les amours naissants, les rencontres foudroyantes. J'ai eu du mal à me plonger réellement dans ces histoires d'amour-là. Cependant, j'ai trouvé Elle de Sybille Marchetto bien écrite. Elle est celle des 6 qui a réussi à me plaire le plus. La fin de Folles de moi de Frédéric Czilinder est aussi touchante dans sa conclusion... Et elle semble surtout tellement vraie. L'impromptu de la noce de Thomas Spok et La jeune femme, les morts et Bobby Joe d'Emmanuelle Boreau n'ont pas réussi à attirer mon attention. Les ingrédients sont là, mais la sauce n'a pas pris.
Le temps d'aimer est ma partie préférée du livre. Je suis toujours touchée par les histoires banales en apparence et tellement complexes en réalité... L'encadreuse d'Emmanuelle Cart-Tanneur m'a littéralement transportée : c'est exactement ce que je j'aime dans un écrit, ce quotidien si banal, ces drames de la vie qui vous façonnent... C'est un nom dont je me souviendrai. Le personnage de Paul m'a touchée, celui de sa femme aussi. L'amour n'est pas une question d'âge ou de génération, c'est une question d'épreuves à traverser ensemble. Quatre Saisons Avant la Pluie, de Jennifer Flajolet-Toubas, est elle aussi touchante : un proverbe qui m'a marquée dit "Il faut avoir beaucoup aimé pour se rendre compte que l'on aime qu'une seule fois"; il prend tout son sens dans ce pèlerinage effectué par le héros. Le développement de l'odorat à travers l'écriture est tout simplement sublime. Mon avis est compliqué pour Le sourire de Fausta de Cyril Carau : l'écriture est fluide, prenante et le côté dérangeant de la relation décrite juste superbe... Mais je suis perturbée par ce côté dérangeant : je trouve réellement bien de le mettre en valeur, de faire réfléchir mais j'ai grimacé en le lisant à cause du fait que je suis proche de tous mes cousins, germains ou éloignés... C'est en même temps ce que j'aime : qu'on me bouscule à travers les mots !
L'amour fou dérange, il bouscule le politiquement correct, repousse les limites et c'est tout ça à la fois qu'on peut retrouver dans cette parte de l'anthologie. La fille de l'air de Pascaline Nolot nous offre le sympathique coup de l’ascenseur émotionnel en deux lignes : du génie. J'ai grimacé, j'ai fermé le livre pour m'en remettre, la tête pleine d'images dont je me serais bien passée, mais c'était franchement bon. Le Baiser du requin, d'Yvette Auméran, est l'histoire la plus extraordinaire de cette anthologie; ma préférée reste L'encadreuse, mais celle-ci dépasse tout et nous donne une bonne leçon de vie : qui aurait cru qu'une esturgeonne était capable de m'émouvoir à ce point ? Yvette Auméran affronte la science, affronte les lois de la nature et surtout, elle nous montre que se battre vaut parfois la peine. Surtout en amour. Les autres amours décrits dans cette partie gardent cet aspect dérangeant, que ce soit le sentiment qu'a dû éprouver le héros de Coup de Foudre ou l'horreur de Luz del Camino, nous poussent à voir plus loin que l'amour simple et facile qu'on connaît. Ces nouvelles nous ouvrent les yeux sur la réalité humaine et ses travers, la réalité humaine et l'amour fou...
Enfin, Le don de l'amour est la dernière partie et pas la moindre : il s'agit de s'offrir entier à l'autre, de se sacrifier. J'ai particulièrement aimé Paris/Grenoble, d'Esmeralda Bianca : les histoires du quotidiens, du commun des mortels, me touchent encore et toujours. En quelques minutes, le héros passe de sa femme embrassant un autre homme quelques mois plus tôt à l'une des révélations les plus bouleversantes de sa vie et ça ne laisse pas indifférent.
Les auteurs de cette anthologie n'ont pas été choisis au hasard et ça se sent : ils sont tous différents, ils apportent chacun une touche bien personnelle au livre, mais se complètent à merveille. Il y en a pour tous les goûts ce qui n'est pas courant dans les anthologies : là, on est forcément touché par quelques écrits tellement les sensations sont diverses et variées. J'y ai trouvé mon compte, j'ai découvert de nouvelles façons de voir et de lire l'amour et je ne regrette pas cette lecture. Je me suis attachée à des personnages en seulement quelques pages et c'est ce que j'aime dans la nouvelle : être touchée en quelques mots, tout simplement parce que c'est naturel, ça semble couler de source. Je regrette simplement de ne pas avoir adhéré à toutes les nouvelles, mais c'est le prix à payer pour un recueil aussi diversifié.
Merci aux Editions Sombrets Rets pour cette opportunité et la confiance qu'ils accordent au forum A&M.
La couverture de l'anthologie ne m'a pas séduite. Je ne m'arrête pas aux premières impressions quand je sais que je veux lire un livre, mais lorsque je furète en librairie, je m'intéresse aux livres dont les couvertures attirent mon regard et je pense que je n'aurais pas choisi celle-ci. Elle est belle, elle colle au thème mais elle est trop rose et rouge. Le titre évoque déjà explicitement le thème de l'anthologie et une couverture comme celle-là insiste trop. Après, c'est une question de goût.
La préface d'un livre en dit toujours trop pour moi c'est pourquoi je préfère la lire à la fin, une fois toutes les nouvelles terminées, pour être sûre de garder le suspense jusqu'au bout. La préface du livre est intéressante car elle place le contexte, mais surtout elle éclaire réellement sur le lien logique entre les différentes nouvelles et leur agencement. J'ai apprécié cet arrangement d'ailleurs, le fait de commencer par les débuts de l'amour et de progresser doucement vers quelque chose de plus intense. C'est un excellent point pour l'anthologie.
La recherche de l'amour est la première partie du livre, mais aussi celle à laquelle je n'ai pas accroché : ça vient principalement de moi et de mes goûts. Je n'apprécie pas souvent les écrits décrivant les amours naissants, les rencontres foudroyantes. J'ai eu du mal à me plonger réellement dans ces histoires d'amour-là. Cependant, j'ai trouvé Elle de Sybille Marchetto bien écrite. Elle est celle des 6 qui a réussi à me plaire le plus. La fin de Folles de moi de Frédéric Czilinder est aussi touchante dans sa conclusion... Et elle semble surtout tellement vraie. L'impromptu de la noce de Thomas Spok et La jeune femme, les morts et Bobby Joe d'Emmanuelle Boreau n'ont pas réussi à attirer mon attention. Les ingrédients sont là, mais la sauce n'a pas pris.
Le temps d'aimer est ma partie préférée du livre. Je suis toujours touchée par les histoires banales en apparence et tellement complexes en réalité... L'encadreuse d'Emmanuelle Cart-Tanneur m'a littéralement transportée : c'est exactement ce que je j'aime dans un écrit, ce quotidien si banal, ces drames de la vie qui vous façonnent... C'est un nom dont je me souviendrai. Le personnage de Paul m'a touchée, celui de sa femme aussi. L'amour n'est pas une question d'âge ou de génération, c'est une question d'épreuves à traverser ensemble. Quatre Saisons Avant la Pluie, de Jennifer Flajolet-Toubas, est elle aussi touchante : un proverbe qui m'a marquée dit "Il faut avoir beaucoup aimé pour se rendre compte que l'on aime qu'une seule fois"; il prend tout son sens dans ce pèlerinage effectué par le héros. Le développement de l'odorat à travers l'écriture est tout simplement sublime. Mon avis est compliqué pour Le sourire de Fausta de Cyril Carau : l'écriture est fluide, prenante et le côté dérangeant de la relation décrite juste superbe... Mais je suis perturbée par ce côté dérangeant : je trouve réellement bien de le mettre en valeur, de faire réfléchir mais j'ai grimacé en le lisant à cause du fait que je suis proche de tous mes cousins, germains ou éloignés... C'est en même temps ce que j'aime : qu'on me bouscule à travers les mots !
L'amour fou dérange, il bouscule le politiquement correct, repousse les limites et c'est tout ça à la fois qu'on peut retrouver dans cette parte de l'anthologie. La fille de l'air de Pascaline Nolot nous offre le sympathique coup de l’ascenseur émotionnel en deux lignes : du génie. J'ai grimacé, j'ai fermé le livre pour m'en remettre, la tête pleine d'images dont je me serais bien passée, mais c'était franchement bon. Le Baiser du requin, d'Yvette Auméran, est l'histoire la plus extraordinaire de cette anthologie; ma préférée reste L'encadreuse, mais celle-ci dépasse tout et nous donne une bonne leçon de vie : qui aurait cru qu'une esturgeonne était capable de m'émouvoir à ce point ? Yvette Auméran affronte la science, affronte les lois de la nature et surtout, elle nous montre que se battre vaut parfois la peine. Surtout en amour. Les autres amours décrits dans cette partie gardent cet aspect dérangeant, que ce soit le sentiment qu'a dû éprouver le héros de Coup de Foudre ou l'horreur de Luz del Camino, nous poussent à voir plus loin que l'amour simple et facile qu'on connaît. Ces nouvelles nous ouvrent les yeux sur la réalité humaine et ses travers, la réalité humaine et l'amour fou...
Enfin, Le don de l'amour est la dernière partie et pas la moindre : il s'agit de s'offrir entier à l'autre, de se sacrifier. J'ai particulièrement aimé Paris/Grenoble, d'Esmeralda Bianca : les histoires du quotidiens, du commun des mortels, me touchent encore et toujours. En quelques minutes, le héros passe de sa femme embrassant un autre homme quelques mois plus tôt à l'une des révélations les plus bouleversantes de sa vie et ça ne laisse pas indifférent.
Les auteurs de cette anthologie n'ont pas été choisis au hasard et ça se sent : ils sont tous différents, ils apportent chacun une touche bien personnelle au livre, mais se complètent à merveille. Il y en a pour tous les goûts ce qui n'est pas courant dans les anthologies : là, on est forcément touché par quelques écrits tellement les sensations sont diverses et variées. J'y ai trouvé mon compte, j'ai découvert de nouvelles façons de voir et de lire l'amour et je ne regrette pas cette lecture. Je me suis attachée à des personnages en seulement quelques pages et c'est ce que j'aime dans la nouvelle : être touchée en quelques mots, tout simplement parce que c'est naturel, ça semble couler de source. Je regrette simplement de ne pas avoir adhéré à toutes les nouvelles, mais c'est le prix à payer pour un recueil aussi diversifié.
Merci aux Editions Sombrets Rets pour cette opportunité et la confiance qu'ils accordent au forum A&M.
Avis de Kathy
L’anthologie Histoires d’Amour est en effet une bien belle aventure ! Elle ne contient pas moins de vingt trois nouvelles dont le thème principal est le sentiment si terrible et si humain qu’est l’amour. La préface d’Elie Darco nous plonge directement dans le bain avec un petit historique des romans d’amour. La découpe du recueil est intéressante. En effet, les nouvelles sont divisées en quatre temps : La recherche de l’amour, Le temps d’aimer, L’amour fou et Le don d’amour. J’ai trouvé ce choix cohérent à chaque étape.
Au fur et à mesure de ma lecture, un adjectif m’est venu en tête : surprenant ! Comme à chaque fois, n’étant pas amatrice de nouvelles, j’oublie leur magie, leur chute et leur sens. Les nouvelles sont en réalité envoûtantes car chacune est particulière et trouve sa place. Le recueil se lit tout seul, les pages défilent et les différents personnages vivent sous nos yeux.
Bien sûr, j’ai adoré quelques nouvelles, préféré d’autres et pas du tout aimé certaines. Celles que je n’ai pas aimées, telles que Norma (trop bizarre), Colloque Sentimental (style trop saccadé, difficile à suivre) et Sous un soleil immense (trop science-fiction, spirituel à mon goût), sont en fait celles que je n’ai pas bien comprises (surtout Colloque sentimental !). Il y a quelques personnages auxquels nous nous attachons très rapidement, dont nous aimerions en savoir davantage et ne pas quitter si rapidement… C’est le cas de Colette et Paul, dans L’Encadreuse, ou de Franck et Fausta dans Le sourire de Fausta. Ils ont un caractère très particulier que l’auteur arrive à dépeindre en peu de mots. C’est cela qui me fascine, pouvoir apprécier et suivre un personnage en si peu de pages, comme s’ils évoluaient dans un vrai roman. Les auteurs sont très forts.
L’une de mes préférées est Quatre saisons avant la pluie dans laquelle un homme apprend qu’il va mourir et décide de revoir chacune des femmes qu’il a aimée dans sa vie. Chaque rencontre ramène leurs souvenirs passés ensemble. Les sentiments se bousculent et les odeurs sont magnifiées avec les descriptions. On s’y croit, on revit les aventures amoureuses à leurs côtés, on les sent. Par contre, je n’ai pas compris la fin…
Le sourire de Fausta était une nouvelle très belle, très douce et sensuelle. Beaucoup d’émotions dans les mots. Un vrai plaisir à lire.
Une autre m'a beaucoup marquée par sa chute (que je ne vais donc pas dévoiler) : La fille de l'air. Elle m'a totalement séduite, puis surprise, puis dégoutée, puis troublée. Bref, tout un tas de sentiments qui décoiffent !
C’était de très bons moments passés en compagnie de ces vingt trois auteurs. Je prends en note certains de ces noms pour pouvoir voir ce qu’ils ont fait d’autre à côté, car ils m’ont vraiment captivée. Ce livre, en plus de nous divertir, peut nous toucher profondément, il nous fait nous poser de nombreuses questions sur la vie, mais surtout sur l’amour, la vie de couple et le bonheur de vivre à deux. J’en redemande.
Au fur et à mesure de ma lecture, un adjectif m’est venu en tête : surprenant ! Comme à chaque fois, n’étant pas amatrice de nouvelles, j’oublie leur magie, leur chute et leur sens. Les nouvelles sont en réalité envoûtantes car chacune est particulière et trouve sa place. Le recueil se lit tout seul, les pages défilent et les différents personnages vivent sous nos yeux.
Bien sûr, j’ai adoré quelques nouvelles, préféré d’autres et pas du tout aimé certaines. Celles que je n’ai pas aimées, telles que Norma (trop bizarre), Colloque Sentimental (style trop saccadé, difficile à suivre) et Sous un soleil immense (trop science-fiction, spirituel à mon goût), sont en fait celles que je n’ai pas bien comprises (surtout Colloque sentimental !). Il y a quelques personnages auxquels nous nous attachons très rapidement, dont nous aimerions en savoir davantage et ne pas quitter si rapidement… C’est le cas de Colette et Paul, dans L’Encadreuse, ou de Franck et Fausta dans Le sourire de Fausta. Ils ont un caractère très particulier que l’auteur arrive à dépeindre en peu de mots. C’est cela qui me fascine, pouvoir apprécier et suivre un personnage en si peu de pages, comme s’ils évoluaient dans un vrai roman. Les auteurs sont très forts.
L’une de mes préférées est Quatre saisons avant la pluie dans laquelle un homme apprend qu’il va mourir et décide de revoir chacune des femmes qu’il a aimée dans sa vie. Chaque rencontre ramène leurs souvenirs passés ensemble. Les sentiments se bousculent et les odeurs sont magnifiées avec les descriptions. On s’y croit, on revit les aventures amoureuses à leurs côtés, on les sent. Par contre, je n’ai pas compris la fin…
Le sourire de Fausta était une nouvelle très belle, très douce et sensuelle. Beaucoup d’émotions dans les mots. Un vrai plaisir à lire.
Une autre m'a beaucoup marquée par sa chute (que je ne vais donc pas dévoiler) : La fille de l'air. Elle m'a totalement séduite, puis surprise, puis dégoutée, puis troublée. Bref, tout un tas de sentiments qui décoiffent !
C’était de très bons moments passés en compagnie de ces vingt trois auteurs. Je prends en note certains de ces noms pour pouvoir voir ce qu’ils ont fait d’autre à côté, car ils m’ont vraiment captivée. Ce livre, en plus de nous divertir, peut nous toucher profondément, il nous fait nous poser de nombreuses questions sur la vie, mais surtout sur l’amour, la vie de couple et le bonheur de vivre à deux. J’en redemande.
Avis de chtitepuce
Déjà, une très belle couverture, et un prologue d’Elie Darco qui commence à nous tenir la main pour traverser les différentes nouvelles. Du Moyen Age, en passant par Victor Hugo, Elie Darco nous montre qu’il y a pleins de façons de parler d’amour, qu’il y a autant d’histoires d’amour qu’il y a de personnes aimantes et aimées.
C’est cette palette de situations que nous offrent les auteurs d’Histoires d’amour.
A la recherche de l’amour…
Le temps d’aimer…
Les deux parties que j’ai préférées, qui se suivent parfaitement. On oscille entre tendresse, humour et dure réalité. J’y ai retrouvé le sentiment d’amour que j’ai pu connaître, parfois beau, parfois douloureux.
La plus belle nouvelle pour moi, reste, Quatre saisons avant la pluie. Que nous reste-t-il quand la mort frappe à notre porte ? Notre homme ira retrouver toutes les femmes qui ont compté dans sa vie, et ressassera leur souvenir commun, le parfum qu’elles lui auront laissé.
L’encadreuse m’a beaucoup touchée. Un homme face à sa femme trompée, qui ne s’en doute pas jusqu’au moment fatidique. Malheureusement nous n’en saurons pas plus, ce qui est bien dommage.
Une autre de mes préférées qui m’a parlé, c’est Le sourire de Fausta de Cyril Carau. Une nouvelle tout en pudeur avec les premiers émois et les premières découvertes.
L’amour fou
Cette partie m’a tout simplement surprise. Au cours de six nouvelles, nous sommes réellement face à cet amour fou, obsédant parfois comme Coup de foudre. Yves-Daniel Crouzet nous prouve que l’amour rend parfois aveugle et nous éloigne des autres.
Des nouvelles poignantes comme De l’autre coté du voile , d’Ombeline Duprat ou certaines qui te prennent aux tripes tout simplement, comme La fille de l’air.
Le don d’amour
Une très belle partie, où on nous décrit une autre facette de l’amour, donner à l’autre, inconnu ou non comme La cathédrale de chair où Jérémie Ciholya nous offre une belle métaphore sur la fusion de notre corps qui accepte un corps étranger.
Ce n’est pas ma partie préférée mais elle reste très touchante, de part ces dons d’amour faits aux autres que l’on soit gagnant ou non.
Histoires d’amour, est une belle anthologie, où les auteurs ont réussi à se compléter au fil des nouvelles, chacun avec son style, son expérience, pour nous donner un goût d’amour jusqu’à la dernière page.
C’est cette palette de situations que nous offrent les auteurs d’Histoires d’amour.
A la recherche de l’amour…
Le temps d’aimer…
Les deux parties que j’ai préférées, qui se suivent parfaitement. On oscille entre tendresse, humour et dure réalité. J’y ai retrouvé le sentiment d’amour que j’ai pu connaître, parfois beau, parfois douloureux.
La plus belle nouvelle pour moi, reste, Quatre saisons avant la pluie. Que nous reste-t-il quand la mort frappe à notre porte ? Notre homme ira retrouver toutes les femmes qui ont compté dans sa vie, et ressassera leur souvenir commun, le parfum qu’elles lui auront laissé.
L’encadreuse m’a beaucoup touchée. Un homme face à sa femme trompée, qui ne s’en doute pas jusqu’au moment fatidique. Malheureusement nous n’en saurons pas plus, ce qui est bien dommage.
Une autre de mes préférées qui m’a parlé, c’est Le sourire de Fausta de Cyril Carau. Une nouvelle tout en pudeur avec les premiers émois et les premières découvertes.
L’amour fou
Cette partie m’a tout simplement surprise. Au cours de six nouvelles, nous sommes réellement face à cet amour fou, obsédant parfois comme Coup de foudre. Yves-Daniel Crouzet nous prouve que l’amour rend parfois aveugle et nous éloigne des autres.
Des nouvelles poignantes comme De l’autre coté du voile , d’Ombeline Duprat ou certaines qui te prennent aux tripes tout simplement, comme La fille de l’air.
Le don d’amour
Une très belle partie, où on nous décrit une autre facette de l’amour, donner à l’autre, inconnu ou non comme La cathédrale de chair où Jérémie Ciholya nous offre une belle métaphore sur la fusion de notre corps qui accepte un corps étranger.
Ce n’est pas ma partie préférée mais elle reste très touchante, de part ces dons d’amour faits aux autres que l’on soit gagnant ou non.
Histoires d’amour, est une belle anthologie, où les auteurs ont réussi à se compléter au fil des nouvelles, chacun avec son style, son expérience, pour nous donner un goût d’amour jusqu’à la dernière page.
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