Nombre de pages : 316 pages
Date de parution : 2012
Fiche du Livre
Quatrième de couverture
Arha ne croit pas au Destin mais celui-ci ne veut rien entendre. Il le condamne depuis sa naissance à enchaîner coups de chance et sacrées déveines. Une situation hasardeuse à vivre au quotidien et qui se complique encore lorsque le garçon commence son apprentissage de la magie. Tandis qu’il se rend à une réunion importante de magiciens, son professeur disparaît. Et ses espoirs d’être sauvé de dangereuses créatures aussi ! Poussé par les événements, Arha doit percer le mystère qui entoure une série de vols audacieux s’il veut se dépêtrer de cette situation. Aidé par ses amis, Catie la téméraire et Bressog le gourmand, l’apprenti magicien mène l’enquête, entre metteurs en scène inspirés, créatures féroces et sortilèges ratés…
Date de parution : 2012
Fiche du Livre
Quatrième de couverture
Arha ne croit pas au Destin mais celui-ci ne veut rien entendre. Il le condamne depuis sa naissance à enchaîner coups de chance et sacrées déveines. Une situation hasardeuse à vivre au quotidien et qui se complique encore lorsque le garçon commence son apprentissage de la magie. Tandis qu’il se rend à une réunion importante de magiciens, son professeur disparaît. Et ses espoirs d’être sauvé de dangereuses créatures aussi ! Poussé par les événements, Arha doit percer le mystère qui entoure une série de vols audacieux s’il veut se dépêtrer de cette situation. Aidé par ses amis, Catie la téméraire et Bressog le gourmand, l’apprenti magicien mène l’enquête, entre metteurs en scène inspirés, créatures féroces et sortilèges ratés…
Avis de Noisette2011
Mon avis sur Le Magicien et le Golem, L'armée du seigneur noir Tome 1 :
Commençons d'abord par la couverture. J'avoue ne pas avoir été emballée par les illustrations. Je trouve que les dessins sont un peu enfantins et je me suis donc fait des a-priori sur ma future lecture. Et là, heureusement, qu'on dit qu'il ne faut jamais se fier à la couverture d'un livre, parce que cette histoire m'a énormément plu.
L'histoire en elle-même est très intéressante, facile à suivre dans l'enchaînement des événements et on est facilement pris par la lecture. L'écriture est fluide. Je n'ai pas trouvé de moment ennuyeux, ni de passages lourds à lire.
Concernant le personnage principal Arha, celui-ci se révèle être très attachant. Il n'est pas un héros stéréotypé, ni une personne à qui tout sourit, même si, il faut l'avouer, il a énormément de chances et de malchances. Cela est dû à sa fameuse "malédiction-bénédiction" qui entoure le moment de sa naissance.
J'ai beaucoup aimé les différentes variantes de cette "malédiction-bénédiction", racontées par différents personnages. Finalement, on n'en sait pas beaucoup plus à la fin du livre, les différentes histoires étant plus farfelues les unes que les autres. Cela permet de faire planer le mystère.
Les personnages secondaires Catia et Bressog, les amis d'Arha qui vont l'accompagner durant son périple, sont aussi attachants à leur manière. Ils sont très bien décrits au niveau de leur caractère et de leurs émotions. Ce sont vraiment des personnages à part entières, qui ne sont pas là uniquement pour valoriser le "héros", et qui apportent un plus à l'histoire. J'ai trouvé Bressog un peu trop caricatural malgré tout. C'est un gros gourmand un peu "bébête", mais à qui il arrive d'avoir de sacrés coups de génie. Cependant, je pense qu'il n'est pas déplaisant d'avoir un personnage de ce type dans l'histoire. Il permet d'alléger l'histoire et de nous faire rire, Catia ayant plus le rôle de moralisateur pour nos comparses.
Et que dire de Herny et Herbert (2 soldats qui surveillent le château d'Omesse sous les ordres du Capitaine (père de Bressog))... Ceux-ci nous font bien rire par leur stupidité et leur joie de vivre.
Quant au magicien Merrelf (le maître magicien d'Arha), il se distingue des autres magiciens par son côté à la fois canaille et sérieux, dans les moments importants. Je trouve dommage, qu'on ne le voie (ou ne le lise) pas plus utilisant sa magie. On ne peut se rendre compte de l'immensité de ses pouvoirs, ni des pouvoirs dont il dispose réellement. Je regrette donc, qu'il n'y ait pas eu d'affrontement direct entre lui et Vafner. Mais je suis sûre qu'on verra cela dans la suite des aventures de nos amis...
Maintenant, j'aimerais parler d'un autre point de l'histoire, les ressemblances avec le Seigneur des Anneaux de J.R.R. Tolkien ou les clins d’œil qui y sont faits.
Certains passages nous emmènent directement vers l'univers du Seigneur des Anneaux :
- Les noms des différentes auberges : un animal plus un adjectif qui font penser à l'auberge du Poney fringant.
- "Dans un angle de la pièce mal éclairée, un homme encapuchonné tournait fréquemment la tête en direction de leur table." Cela faisant référence à Aragorn dans l'auberge du Poney fringant, épiant les hobbits.
- les anagrammes assez récurrents : les pierres de vision, ici Tirpalan et dans LSDA Palantir, la ville Egrasoth et dans LSDA Esgaroth.... Et sans doute, le plus beau (j'adore^^, un hommage, selon moi, à la passion de l'auteur pour Tolkien), le fameux livre Le Milsarilion (Le Silmarillion) écrit par LTT Loitenk (Tolkien en anagramme ).
Bien entendu, ils sont plus nombreux que cela.
Je suis heureuse que l'auteur les distille au compte-goutte et qu'ils se raréfient au cours de la lecture. Car, bien que j'aime le Seigneur des Anneaux, je ne désire pas lire un livre qui y ressemble trop ou s'en inspire. Car Tolkien reste inimitable, selon moi.
En conclusion, j'ai adoré lire ce roman. Ce fut un vrai plaisir et un coup de cœur. Et je le conseille vivement à ceux qui aiment l'univers de la fantasy.
Je tiens donc à remercier les Éditions Artalys pour ce partenariat ainsi qu'Accros et Mordus, bien sûr. Et je souhaite une bonne continuation à l'auteur. J'attends la suite de ce roman avec beaucoup d'impatience.
Commençons d'abord par la couverture. J'avoue ne pas avoir été emballée par les illustrations. Je trouve que les dessins sont un peu enfantins et je me suis donc fait des a-priori sur ma future lecture. Et là, heureusement, qu'on dit qu'il ne faut jamais se fier à la couverture d'un livre, parce que cette histoire m'a énormément plu.
L'histoire en elle-même est très intéressante, facile à suivre dans l'enchaînement des événements et on est facilement pris par la lecture. L'écriture est fluide. Je n'ai pas trouvé de moment ennuyeux, ni de passages lourds à lire.
Concernant le personnage principal Arha, celui-ci se révèle être très attachant. Il n'est pas un héros stéréotypé, ni une personne à qui tout sourit, même si, il faut l'avouer, il a énormément de chances et de malchances. Cela est dû à sa fameuse "malédiction-bénédiction" qui entoure le moment de sa naissance.
J'ai beaucoup aimé les différentes variantes de cette "malédiction-bénédiction", racontées par différents personnages. Finalement, on n'en sait pas beaucoup plus à la fin du livre, les différentes histoires étant plus farfelues les unes que les autres. Cela permet de faire planer le mystère.
Les personnages secondaires Catia et Bressog, les amis d'Arha qui vont l'accompagner durant son périple, sont aussi attachants à leur manière. Ils sont très bien décrits au niveau de leur caractère et de leurs émotions. Ce sont vraiment des personnages à part entières, qui ne sont pas là uniquement pour valoriser le "héros", et qui apportent un plus à l'histoire. J'ai trouvé Bressog un peu trop caricatural malgré tout. C'est un gros gourmand un peu "bébête", mais à qui il arrive d'avoir de sacrés coups de génie. Cependant, je pense qu'il n'est pas déplaisant d'avoir un personnage de ce type dans l'histoire. Il permet d'alléger l'histoire et de nous faire rire, Catia ayant plus le rôle de moralisateur pour nos comparses.
Et que dire de Herny et Herbert (2 soldats qui surveillent le château d'Omesse sous les ordres du Capitaine (père de Bressog))... Ceux-ci nous font bien rire par leur stupidité et leur joie de vivre.
Quant au magicien Merrelf (le maître magicien d'Arha), il se distingue des autres magiciens par son côté à la fois canaille et sérieux, dans les moments importants. Je trouve dommage, qu'on ne le voie (ou ne le lise) pas plus utilisant sa magie. On ne peut se rendre compte de l'immensité de ses pouvoirs, ni des pouvoirs dont il dispose réellement. Je regrette donc, qu'il n'y ait pas eu d'affrontement direct entre lui et Vafner. Mais je suis sûre qu'on verra cela dans la suite des aventures de nos amis...
Maintenant, j'aimerais parler d'un autre point de l'histoire, les ressemblances avec le Seigneur des Anneaux de J.R.R. Tolkien ou les clins d’œil qui y sont faits.
Certains passages nous emmènent directement vers l'univers du Seigneur des Anneaux :
- Les noms des différentes auberges : un animal plus un adjectif qui font penser à l'auberge du Poney fringant.
- "Dans un angle de la pièce mal éclairée, un homme encapuchonné tournait fréquemment la tête en direction de leur table." Cela faisant référence à Aragorn dans l'auberge du Poney fringant, épiant les hobbits.
- les anagrammes assez récurrents : les pierres de vision, ici Tirpalan et dans LSDA Palantir, la ville Egrasoth et dans LSDA Esgaroth.... Et sans doute, le plus beau (j'adore^^, un hommage, selon moi, à la passion de l'auteur pour Tolkien), le fameux livre Le Milsarilion (Le Silmarillion) écrit par LTT Loitenk (Tolkien en anagramme ).
Bien entendu, ils sont plus nombreux que cela.
Je suis heureuse que l'auteur les distille au compte-goutte et qu'ils se raréfient au cours de la lecture. Car, bien que j'aime le Seigneur des Anneaux, je ne désire pas lire un livre qui y ressemble trop ou s'en inspire. Car Tolkien reste inimitable, selon moi.
En conclusion, j'ai adoré lire ce roman. Ce fut un vrai plaisir et un coup de cœur. Et je le conseille vivement à ceux qui aiment l'univers de la fantasy.
Je tiens donc à remercier les Éditions Artalys pour ce partenariat ainsi qu'Accros et Mordus, bien sûr. Et je souhaite une bonne continuation à l'auteur. J'attends la suite de ce roman avec beaucoup d'impatience.
Avis de RivieredOr
Le Magicien et le Golem de Philippe H. Besancenet est le premier tome de la série L’Armée du Seigneur Noir et raconte les aventures d’Ahra, un jeune apprenti magicien sur qui pèse une drôle de malédiction : il est condamné à enchaîner les coups de chance et ceux de malchance. Alors quand son professeur disparaît et que ses amis l’entraînent, bon gré mal gré, à sa recherche, Ahra a conscience qu’il va au devant de sacrés ennuis, mais aussi de bons fous rires.
Lorsque j’ai reçu le livre, ma première pensée n’a pas vraiment été positive. En effet, la couverture ne me plaisait pas tellement. Les dessins n’avaient rien d’exceptionnel, sans compter que je la trouvais un peu trop chargée. Heureusement que je n’ai pas pour habitude de juger un livre sur sa couverture et que j’ai toujours préféré chercher plus profondément car, croyez-moi, j’aurais raté quelque chose. Je n’ai pas été déçue du tout par cette lecture, bien au contraire !
C’est avec une facilité déconcertante que Philippe H. Besancenet arrive à nous entraîner dans cette histoire. Doté d’un plume facile à lire, l’auteur fabrique avec brio un cocktail d’humour, d’aventure, de magie et aussi d’amour, qui nous donne tout au long du livre l’impression d’évoluer en même temps que les personnages.
Il utilise également une écriture profondément marquée par certains auteurs et j’ai eu plaisir à retrouver certains trait de l’humour de Pratchett, ainsi que de très nombreuses références aux différentes œuvres de Tolkien : le livre recherché par Ahra et ses amis s’appelle par exemple Misarilion de Loitenk, qui fait bien sûr penser au Silmarillion, ou encore une des pièces de théâtre préférée de nos héros, qui s’appelle Les 20 anneaux de pouvoirs, en référence surement au Seigneurs des Anneaux. Tolkien n’est pas le seul à revenir et à être transformé par les doigts de fées de l’auteur. J’ai aussi remarqué une référence à Tim Burton et une, il me semble, à la série Magyk. Tout cela amène le lecteur à entrer encore plus dans l’histoire, mais ce procédé amène également une dose d’humour non négligeable.
Le livre met aussi en scène de nombreux personnages, et qu’ils soient secondaires ou principaux, ils ont tous leur propre personnalité. Leur description et leur côté indéniablement vivant permet de mieux s’identifier à eux. Et je dois avouer, une fois n’est pas coutume, que l’un de mes personnages préférés est le personnage principal du roman, Ahra, même s’il est très difficile de choisir et qu’ils ont tous un petit quelque chose qui les rend appréciables. A vrai dire, ce qui m’a surtout touchée, avec Ahra, c’est qu’il est le type même de l'antihéros. Il accumule un certain nombre de défauts qui le rendent plus humain et réel : il n’est ni le plus fort, ni le plus talentueux, ni le plus courageux, mais il est là quand même ! Et je n’ai pas pu m’empêcher de penser à certains moments : « Mon vieux, tu aurais mieux fait de rester couché dans ton lit ce matin ! ».
Les descriptions, quant à elles, sont aussi très réussies. On n'a aucun mal à s’imaginer le château piégé de Pytre, ou encore l’immense bibliothèque dans laquelle nos trois héros se font enfermer pour le bien de leur enquête. Mais ces descriptions atteignent leur apogée lorsque nos trois amis se retrouvent confrontés à des monstres légendaires. A contrario, les personnages méchants, eux, ne font pas particulièrement peur, et ne sont pas très impressionnant.
En résumé, j’ai vraiment beaucoup apprécié cette lecture où la balance penche nettement en faveur des points positifs. Et avec cette fin qui nous laisse justement sur notre faim, j’ai vraiment hâte de découvrir la suite. Je remercie le Sanctuaire de la lecture et la maison d’Édition Artalys pour ce merveilleux partenariat.
Lorsque j’ai reçu le livre, ma première pensée n’a pas vraiment été positive. En effet, la couverture ne me plaisait pas tellement. Les dessins n’avaient rien d’exceptionnel, sans compter que je la trouvais un peu trop chargée. Heureusement que je n’ai pas pour habitude de juger un livre sur sa couverture et que j’ai toujours préféré chercher plus profondément car, croyez-moi, j’aurais raté quelque chose. Je n’ai pas été déçue du tout par cette lecture, bien au contraire !
C’est avec une facilité déconcertante que Philippe H. Besancenet arrive à nous entraîner dans cette histoire. Doté d’un plume facile à lire, l’auteur fabrique avec brio un cocktail d’humour, d’aventure, de magie et aussi d’amour, qui nous donne tout au long du livre l’impression d’évoluer en même temps que les personnages.
Il utilise également une écriture profondément marquée par certains auteurs et j’ai eu plaisir à retrouver certains trait de l’humour de Pratchett, ainsi que de très nombreuses références aux différentes œuvres de Tolkien : le livre recherché par Ahra et ses amis s’appelle par exemple Misarilion de Loitenk, qui fait bien sûr penser au Silmarillion, ou encore une des pièces de théâtre préférée de nos héros, qui s’appelle Les 20 anneaux de pouvoirs, en référence surement au Seigneurs des Anneaux. Tolkien n’est pas le seul à revenir et à être transformé par les doigts de fées de l’auteur. J’ai aussi remarqué une référence à Tim Burton et une, il me semble, à la série Magyk. Tout cela amène le lecteur à entrer encore plus dans l’histoire, mais ce procédé amène également une dose d’humour non négligeable.
Le livre met aussi en scène de nombreux personnages, et qu’ils soient secondaires ou principaux, ils ont tous leur propre personnalité. Leur description et leur côté indéniablement vivant permet de mieux s’identifier à eux. Et je dois avouer, une fois n’est pas coutume, que l’un de mes personnages préférés est le personnage principal du roman, Ahra, même s’il est très difficile de choisir et qu’ils ont tous un petit quelque chose qui les rend appréciables. A vrai dire, ce qui m’a surtout touchée, avec Ahra, c’est qu’il est le type même de l'antihéros. Il accumule un certain nombre de défauts qui le rendent plus humain et réel : il n’est ni le plus fort, ni le plus talentueux, ni le plus courageux, mais il est là quand même ! Et je n’ai pas pu m’empêcher de penser à certains moments : « Mon vieux, tu aurais mieux fait de rester couché dans ton lit ce matin ! ».
Les descriptions, quant à elles, sont aussi très réussies. On n'a aucun mal à s’imaginer le château piégé de Pytre, ou encore l’immense bibliothèque dans laquelle nos trois héros se font enfermer pour le bien de leur enquête. Mais ces descriptions atteignent leur apogée lorsque nos trois amis se retrouvent confrontés à des monstres légendaires. A contrario, les personnages méchants, eux, ne font pas particulièrement peur, et ne sont pas très impressionnant.
En résumé, j’ai vraiment beaucoup apprécié cette lecture où la balance penche nettement en faveur des points positifs. Et avec cette fin qui nous laisse justement sur notre faim, j’ai vraiment hâte de découvrir la suite. Je remercie le Sanctuaire de la lecture et la maison d’Édition Artalys pour ce merveilleux partenariat.
Avis de Coupie
En ce moment, je découvre quelques grands classiques de la littérature, mais j'ai pris l'habitude de ponctuer ces lectures avec des romans plus récents, entre autres de la fantasy. C'est dans ce cadre que s'inscrit la lecture du "Magicien et le Golem".
Avec ce roman, nous plongeons dans un monde fantastique, mais assez classique, sans grandes surprises, il faut l'avouer. Nous y rencontrons Arha, jeune apprenti-magicien, et ses deux amis, qui devront réaliser une sorte de quête, et retrouver les derniers exemplaires d'un grimoire ancien avant que le diabolique Vafner ne mette la main dessus et l'utilise à de mauvaises fins...
Très peu de surprises au premier abord, donc. On tombe précisément sur le type d'ambiance à laquelle on s'attendait (à laquelle je m'attendais en tout cas), et cela m'enthousiasmait assez peu au début.
Mais outre une couverture aux tons et aux dessins un peu enfantins (de loin, une amie a cru que je lisais un "Cabane Magique") et un style d'écriture qui m'a semblé non pas pauvre, mais peut être destiné à un public assez jeune (il faut dire que quand on sort d'un roman de Balzac...) Les personnages s'enrichissent dans leur personnalité au fil du roman : l'on apprécie le goût des héros pour le théâtre fantastique, par exemple. Cela les rend plus vivants. Et surtout, l'intrigue bien ficelée, donne sans cesse envie de connaître la suite.
L'on suit donc sans peine nos jeunes héros dans leurs aventures ponctuées de touches évidentes d'humour et de méchants caricaturaux donnant envie d'adapter ce roman en Saga MP3 : le roman ne s'apparente pas au Donjon de Naheubeuk mais peut se rapprocher de la saga audio Reflets d'Acide...
L'univers fantastique où les personnages évoluent aurait cependant gagné à être développé dans son ensemble... ce qui se fera peut être dans les autres tomes à paraître, qui sait ?
Je conclurais en écrivant que, bien que je conseille peut-être ce roman à de plus jeunes lecteurs (et plus férus d'héroïc fantasy que moi), j'ai apprécié cette lecture et, si l'occasion de lire la suite se présente, je la saisirai.
Avec ce roman, nous plongeons dans un monde fantastique, mais assez classique, sans grandes surprises, il faut l'avouer. Nous y rencontrons Arha, jeune apprenti-magicien, et ses deux amis, qui devront réaliser une sorte de quête, et retrouver les derniers exemplaires d'un grimoire ancien avant que le diabolique Vafner ne mette la main dessus et l'utilise à de mauvaises fins...
Très peu de surprises au premier abord, donc. On tombe précisément sur le type d'ambiance à laquelle on s'attendait (à laquelle je m'attendais en tout cas), et cela m'enthousiasmait assez peu au début.
Mais outre une couverture aux tons et aux dessins un peu enfantins (de loin, une amie a cru que je lisais un "Cabane Magique") et un style d'écriture qui m'a semblé non pas pauvre, mais peut être destiné à un public assez jeune (il faut dire que quand on sort d'un roman de Balzac...) Les personnages s'enrichissent dans leur personnalité au fil du roman : l'on apprécie le goût des héros pour le théâtre fantastique, par exemple. Cela les rend plus vivants. Et surtout, l'intrigue bien ficelée, donne sans cesse envie de connaître la suite.
L'on suit donc sans peine nos jeunes héros dans leurs aventures ponctuées de touches évidentes d'humour et de méchants caricaturaux donnant envie d'adapter ce roman en Saga MP3 : le roman ne s'apparente pas au Donjon de Naheubeuk mais peut se rapprocher de la saga audio Reflets d'Acide...
L'univers fantastique où les personnages évoluent aurait cependant gagné à être développé dans son ensemble... ce qui se fera peut être dans les autres tomes à paraître, qui sait ?
Je conclurais en écrivant que, bien que je conseille peut-être ce roman à de plus jeunes lecteurs (et plus férus d'héroïc fantasy que moi), j'ai apprécié cette lecture et, si l'occasion de lire la suite se présente, je la saisirai.
D'autres chroniques ici.
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